Voilà la suite et rien n'est à moi à part l'histoire !
Le première rayon de soleil de la journée passa la barrière de mes paupières. Doucement, je décidai d'ouvrir les yeux. Après quelque essais infructueux, je réussis à ouvrir les yeux complètement et je m'étirais comme un chat. Tout d'un coup une douleur fulgurante me fit arrêter mon mouvement.
Ha merde, qu'est ce que j'ai mal au cul, c'est pas possible, j'aurai vraiment pas du y aller si fort cette nuit, même si j'en avais tellement besoin. Au moins, maintenant, je me sens bien, j'espère que je n'ai pas oublié de lui lancer un sortilège d'oublie, sinon je ne suis pas dans le caca.
Ron du entendre mon cri de souffrance, car il me demanda si tout aller bien. Je lui répondis que tout aller bien, que j'avais juste eu le dos bloqué pendant une fraction de seconde. Un petit mensonge mais j'allais pas lu raconter que j'avais passer ma nuit à baiser, il l'aurait pas bien pris à mon avis, ça m'étonnerai qu'il ai déjà passé ce cap la avec Hermione. Cette pensée me fis rappeler la première fois que j'eus découvert la meilleur partie de ma vie.
Mon dieu que de souvenir, c'était vraiment le pied et ça m'a fait réfléchir à beaucoup de chose existentielle qui fait que ma vie est merdique comme c'est pas possible. Il faut vraiment un jour que je remette tous les points sur les i avec tout le monde. J'ai été un peu naïf certes, mais il ne faut pas me prendre pour un con tout de même.
Le cri de Ron me disant que la douche était libre me fit sortir de mes pensées. Je pris toute mes affaires pour me préparer pour aller en cours. Arriver dans la salle de bain, j'eus la bonne idées de me regarder dans le miroir. Mon dieu, un petit tour en ville un de ces quatre n'est pas pas à négliger.
C'est sur cette pensée que je j'entrai dans la douche. Dès le moment où mon corps rentra en contact avec l'eau chaude mes muscles crispaient de la veille se détendirent un peu. Je passai une trentaine de minute sous l'eau brûlante puis je sortis de la douche et m'habillai. Quand je sortis de la salle de douche, tous les autres étaient partis. Je fus légèrement énervé de cette constatation jusqu'à que je regarde l'heure et que je vis qu'il ne me restait pas beaucoup de temps avant le premier cours de cette nouvelle années. Rapidement je descendis jusqu'à la grande salle et me dirigeai vers la table des Griffondor. Je piquai une tartine et un café pour aller directement avec mon prochain cours. Heureusement pour moi, je commençais par Sortilège, un cours assez normal dont le professeur était M. Flitwick. Par contre deux heures, ça allait être vraiment long surtout pour mes petites fesses assez utilisées cette nuit. En allant vers la salle de classe et tout en mangeant ce que je m'avais pris, je croisa le Serdaigle qui m'avait servi de compagnon de jeu. Il était en compagnie d'une fille blonde avec une poitrine assez voyante et un don pour utiliser sa voix criarde assez bien et fort. Et dire que j'avais baiser tout le nuit avec lui, je savais aussi de réputation, qu'il était assez homophobe.
C'est assez comique comme situation, j'aurai aimé lui dire ce qu'on avez fait ensemble mais ça allait ternir l'image de Griffondor chétif que j'essayai de protéger le plus longtemps possible. C'est à ce moment la, que je croisa le regard de Malfoy, déstabilisé par les émotions qu'il avait vu dans mes yeux.
Mince, c'était pas ce qui était prévu, j'espère qu'il n'en a pas trop vu, il va tout briser sinon ce con.
Je lui lançai un regard méchant en essayant de lui faire passer un message. Je baissais donc la tête vers le sol pour ne plus croiser son regard gris acier.
Alléluia, j'ai cru que ça ne se terminerai jamais, je crois que mon cul ne va pas tenir la journée. Pourtant je m'y suis habitué normalement, c'est vraiment dur la reprise. D'autant plus que Malfoy a passé les deux heures entières à me regarder. J'ai pu sentir son regard dans ma nuque et même Ron et Hermione l'ont remarqué. Il faudra que je m'explique avec lui, parce que ça ne va pas être possible, il ne manque plus qu'il me suive aussi tant qu'il y ai.
Je partis donc en direction de l'extérieur du château, car je n'avais plus cours de la matinée et qu'il faillait aussi se préparer pour les deux heures de potion de l'après-midi. Le mois de septembre venait à peine de débuter et la chaleur était toujours là. Je m'installai pris d'un arbre, pris un papier et commença à écrire.
Salut tout le monde, comment ça va chez vous ?
Pour moi, c'est pas de la rigolade, passer pour un débile aux yeux de tout le monde, il fait que j'ai un maximum de self-contrôle. Peut être que quand je serai découvert, j'en tuerais quelques uns. Celle qui m'énerve le plus, c'est la fille belette, elle passe son temps à me draguer, à me mettre ses horribles mains sur mes cuisses, à crier dans mes oreilles et j'en passe. C'est de la vrai torture mentale cette fille. Heureusement que le soir je peux prendre bien mon pied, c'est trop la folie.
Vous me manquez vous savez, ça fait bizarre, les jeunes adolescents n'ont pas une queues aussi grosse que les vôtres et ni votre endurance. Vivement que je rentre pendant les vacances, faut vraiment que je convainque Dumbledore pour qui me laisse sortir pendant les vacances. Ça va être dur mais j'ai une âme de Serpentard alors je vais trouver une solution !
Passez le bonjours au chef, sinon il va nous faire une crise d'angoisse et le surmenage ce n'est pas conseiller à son âge !
Faites attention à vous,
le corbeau noir.
Après avoir relu plusieurs fois la lettre que je venais d'écrire, je la pliais en quatre puis la rangeais dans ma poche. Je regardais ma montre et décidais que j'avais encore le temps avant de manger pour envoyer ma lettre. Je me levais, époustouflais mes vêtements et pris la direction de la volière. Une fois arrivé à destination, je me dirigeais vers Edwige et lui accrocha la lettre à sa patte
« - allez vole ma belle, tu connais les destinations de toute façon ? Je te donne l'autorisation de mordre qui tu veux en arrivant là-bas .»
Elle me fis un hululement content et parti vers sa destination finale. Je fis demi tour et pris le chemin inverse pour me rendre jusqu'à la grande salle. J'embrasai du regard la salle puisque tous les regards étaient braqués sur moi à cause de mon arrivée tardive. Je vis certaines personnes me regardaient avec admiration et désir et d'autres avec crainte et peur. Je respirais un bon coup et me dirigeai jusqu'à la table de ma maison. Les autres avaient déjà presque fini leur repas au moment où je m'installa sur le banc.
« -ben alors Harry, qu'est ce que tu faisais ? Me demanda alors Hermione à peine je fus assis.
-je me suis assoupi et j'ai raté l'heure, lui mentis-je. Je suis désolé.
-ha ben bravo et je t'ai vu te diriger vers le parc, j'espère que tu n'as pas attraper froid, ça serait bête.
-mais non, il ne fait pas encore assez froid, maman est rassurée ?
-haaa Harry ne plaisante pas avec ça s'il te plaît, s'insurgea-t-elle, surtout que tu ne dormes pas à cause de des cauchemars, me dit-elle, cette fois ci en chuchotant.
-mais ne t'inquiète pas, je dors très bien, Hermione.
-je lui ai dit que tu étais partir vers minuit hier, intervenu Ron, et surtout que tu n'es pas rentré...
-Harry si tu as des problèmes, il faut en parler. Soit à nous, sois à Dumbledore. On est tes amis on peut t'aider tu sais ?
-vous vous inquiétez pour rien, tout vas bien. Si je vais pas bien, promis je viendrai vous voir ou j'irais voir le directeur. Mais en attendant, il faut vite finir, on a bientôt potion avec Snape ! »
Tout en disant ça, j'engloutis le reste de mon assiette en très vite puis je pris une part de tarte à la fraise avec du chocolat dans une petite serviette en papier. Je vis Ron du coin de l'œil faire la même chose et avec le reste des Griffondors de sixième années, je descendis jusqu'aux cachots où le professeur Snape tenait ses cours de potion.
On avait un quart d'heure d'avance pour éviter qu'il trouve une excuse pour encore nous enlevez des points, bien que il en trouva quand même... Arriver aux cachots, il n'y avait bien sur personne. Nous nous sommes donc tous assis par terre en attendant que le professeur et le reste de la classe, la partie Serpentarde, n'arrive. Après cinq minutes d'attente, les premiers Serpentards arrivèrent, avec à leur tête le grand et l'unique Draco Malfoy. Il avait toujours son air hautain sur le visage mais ces traits étaient marqués par la fatigue, ça se voyait à plus de cent kilomètre.
Je me demande bien ce qui a pu lui arriver pour qu'il soit dans cet état, faudrait que je me renseigne ou que j'aille voir se qui se trame directement dans leur repère le soir. Oui, je pense que je vais faire ça... c'est vraiment très intriguant...
Perdu dans mes pensées je ne vis pas arriver la chauve souris des cachots, le seule et l'unique, le professeur Snape. En passant devant moi, il me regarda avec un regard de tueur, comme si, juste avec ses yeux, il pouvait m'envoyer six pieds sous terre. J'eus tout d'un coup envie de soutenir mon regard mais je me repris bien vite, n'oubliant pas le rôle que je devais jouer, ne pas me faire démasquer. Je baissai le regard et attendis qu'il nous dise de nous asseoir. Ce que je ne vis pas, c'était le sourire satisfait et sadique qu'il eut après que j'eus baissé la tête.
Le cours se passa tranquillement, comme d'habitude. Bien évidemment, Neville et Seamus explosèrent des chaudrons, Hermione ne pu exposer son savoir, Draco eu tout le monopole des réponses et Snape ne fit que m'observer pour m'enlever des points. C'est pas comme si ça me touché et puis de toute façon je n'avais pas que ça à faire. Quand la sonnerie retentit, je rangeai vite mes affaires pour me rendre au cours suivant. J'entendis la voix de Ron m'appeler pour que je l'attende mais je fis semblant de ne pas l'entendre.
Je me jetais un sort de désillusion pour pouvoir passer inaperçu et descendis jusqu'au fin fond du château. Je passais par la réserve du professeur Snape puis remontais jusqu'au troisième étage, là où se situait les toilettes pour filles. Je regardais autour de moi pour vérifier qu'il n'y avait personne, sur tout à cause de se sataner fantôme. J'avais normalement tout prévu et m'étais arrangé avec les autres esprits pour qu'elle ne soit plus dans les parages à mes heures de passage. Je fis un tour complet autour du lavabo, et je sifflais le mot de passe pour que l'ouverture, dont j'avais moi seul le pouvoir de l'ouvrir, me dégage un passage. Je sautai dans le trou et passa par le même chemin que celui que j'eus utilisé en deuxième année avec Ron, Hermione et l'autre professeur idiot. Après avoir marché une dizaine de minute, j'arrivai devant la grande porte où des serpents étaient forgés. Encore une fois, je sifflai « ouvre toi » en fourche langue.
Arrivant dans la grande salle, je me remontai les manches, mon courage à deux mains et je me mis au travail. Je commençais par tout d'abord enlever la peau de basilic qui pourrissait depuis presque quatre ans et qui dégageais une odeur plus que pestilentiel. Heureusement que la magie existait ça me pris seulement quelque heures pour tout nettoyer.
Je mis les derniers sorts de chaleur, d'odeurs et de confort pour pouvoir, en suite, arranger la pièce à ma façon. Mais avant, je me mis en tête de visiter la Chambre des Secrets pour découvrir tout ce que je n'avais pas pu faire lors du sauvetage de la Weaslette. Ma recherche fut plus fructueuse que je l'eus envisagée. Je découvris toutes les pièces que Salazard Serpentard avait créé pour son plaisir et son bien-être personnel. À chaque pièce que je rencontrais, je la nettoyais puis l'arranger selon mon goût et mon envie. En arrivant dans la dernière pièce, je fus ébahi par la beauté et la propreté de cette pièce.
C'était une grande pièce, qui faisait office de salon, avec un grand canapé de ma même couleur que la tapisserie au mur, vert. Il y avait aussi de grands meubles en bois ancien orné de sculptures toutes plus belles les unes que les autres. De grands tableaux, qui vraisemblablement étaient des scènes de guerres, murés tout le petit salon. Un grand lustre pendait au mur qui illuminait la pièce d'une lumière chaude autant que la petite cheminée juste en face de la porte.
Je fis quelque pas dans la pièce pour l'admirer et mon regard fut accroché par une grande armoire vitrée où je pouvais voir une cinquantaine de potion étiquetées avec le nom de celle-ci. Je m'approchais pour lire les noms et je découvris des potions que je pensais qu'elles étaient disparues depuis des millénaires. J'avais déjà lu le nom dans des livres mais ceux-ci disait que personne ne savait comment les faire. Je fus exorbité par ma découvert. J'ouvris les portes de la petite armoire en dessous, il y avait une bonne dizaine de livres rares dont certain avaient la couverture bordée d'or ou d'argent. Ces livres étaient de différentes langues fourchelangue, français, latin, anglais et d'autres que je ne connaissais pas. Je restai devant pendant quelque minutes bouche bée.
Soudain, une voix me fit sursauter et je sentis un regard perçant dans mon cou. Lentement je me retournai vers l'endroit où j'avais entendu le bruit. Je fus médusé. Dans un tableau se tenait une grand homme drapé de vert et richement vêtu. Il tenait dans une main une canne et je pus voir sur son épaule, un magnifique serpent que j'identifiai comme un croisé entre une serpent des neiges et un basilic. Voyant mon trouble, un sourire s'installa sur les lèvres de l'homme. Alors que j'allais ouvrir la bouche pour parler, il pris la parole :
« Alors, petit serpent, comment as-tu réussi à t'introduire dans cette chambre, dans ma chambre ? Tu dois être mon héritier alors. Ça fait longtemps que personne n'était venu me voir. La dernière fois c'était i peu près 500 ans et il est vraiment bête... Mon dieu qu'il était incompétent, j'ai essayé de lui inculquer mon savoir, mais ça n'a pas tellement marché.
-Vous... vous êtes Salazar Serpentard ?
-Oui c'est bien mon nom, tu pensais que tu étais où, petit ?
-je sais où je suis merci bien, mais je ne pensais pas vous retrouver ici !
-on est dans mon domaine, tu pensais me trouver où sinon ?
-vous êtes, dans l'imaginaire des personnes de nos jours, un personne malveillante et malfaisante, aussi perfide qu'un serpent.
-j'espère bien ! Sinon je n'aurai pas de pouvoir sur les gens, créer la peur donne le pouvoir, si tu leur montres que tu es fort, il vont te suivre comme des toutous.
-la peur créer surtout envie de créer un groupe pour aider à la surmonter.
-un groupe dirigé peur est plus facile à briser, qu'un groupe mener par l'envie de pouvoir ou le courage !
-peut-être mais les personnes menaient par un sentiments d'unité ne cherchent pas à aller voir ailleurs si vous voyez ce que je dis...
-la trahison... les traîtres ne sont bon qu'à mourir de la manière la plus atroce possible !
-la peur mène plus à la trahison que la joie et le bien-être... la meilleurs solution est de mélanger les deux pour éviter toutes trahisons, qu'est ce que vous en pensez ?
-ma foie, je trouve cette idée intéressant.. tu me plais bien petit, comment t'appelles-tu ?
-mon nom est Harry Potter,
-bien Harry Potter, puisque tu es mon héritier et que tu es une personne forte intéressante qui me diverti bien, je vais t'apprendre mon savoir...
-sans vouloir vous manquez de respect, je ne suis pas votre héritier, je suis au contraire son ennemis
-tu n'es pas mon héritier ? Pourtant je sens de grandes forces en toi et du pouvoir à revendre ! De plus, tu parles de fourchelangue...
-oui, c'est vrai j'ai hérité ça de votre héritier, qui s'appelle Tom Riddle au passage, quand il a essayé de me tuer quand j'avais 1 ans à cause de prophétie sur mon avenir
-raconte moi tout petit, après être enfermé des siècle dans cette chambre, je ne sais plus ce qu'il se passe à l'extérieur, vu que personne ne me rend visite... »
Je passa donc une bonne heure à lui raconter ma vie sans lui parler de ce que j'avais fait les deux dernières semaines de vacances. Son visage passa par plusieurs stade, de la surprise au mépris, de la rage à la fierté. Il ne savait pas quoi penser de Tom et de son comportement. Je vis, à la façon de me regarder qu'il me voyait maintenant avec fierté mais il n'aimait pas mon attache à la magie blanche et à Dumbledore d'un bon œil. S'il savait...
« -voilà maintenant vous savez tout de ma vie...
-eh ben dis moi, elle est bien remplie ta vie pour un gamin comme toi !
-eh oui, j'en suis quand même fière. Par contre, je ne suis plus aussi attaché à Dumbledore qu'avant, surtout depuis qu'il m'a laissé aller chez les Dursley alors qu'il sait particulièrement que je me fais maltraité là-bas. Il commence sérieusement à me faire chier ce type de la lumière à la con !
-Langage ! Arrête de te comporter comme une stupide Griffondor, héritier !
-mais je vous dis que je ne le suis pas !
-je vous conçois comme ça, alors maintenant vous allez m'écouter attentivement ! Je vais, dans ma grande bonté, vous apprendre tout ce que je sais et vous transformer en magnifique Serpentard rusé et imposant, je vais faire de vous un prince !
-il y a déjà une prince, Draco Malfoy !
-Malfoy... il me semble connaître son nom... ah oui je me souviens, une grande famille adepte de la magie noire mais complètement soumis à mon autorité. Racontez moi ce que vous savez sur eux !
-son père s'appelle Lucius Malfoy, il est à la botte de Voldemort en tant que mangemort, il est haut placé et est dans le cercle fermé du Lord noir. Il travaillait au ministère avec l'incompétent Fudge et il était aussi dans ses faveurs. Sa mère s'appelle Narcissa Black, fille de la grande famille des Black. Je ne l'ai pas vu beaucoup, juste une ou deux fois, mais elle transporte avec elle la classe de sa famille. Et le fils Malfoy, Draco, est une fils pourri gâté qui se croit chef de sa maison et qui pète plus haut que son cul.
-oui, ils ne sont pas si différent que leurs ancêtres en définitive. Bref, du va devenir le prochain chef des Serpentard même s'il y a cet ignorant. Tu vas voir tu vas adorer apprendre avec moi, rejoins moi quand tu veux, il y a tout ce qu'il faut ici. »
J'approuvai totalement son idée et c'est alors que le calvaire, enfin je veux dire la leçon commença. Après deux heures de travail, il est décida enfin de me laisser aller prendre mon dîner. Éreinter je m'assis comme une masse sur le banc des Griffondor et commençais à manger. Je sentais le regard des autres sur moi et au bout d'un moment je consentis à lever la tête pour voir ce qu'ils avais.
« -quoi encore ? Pourquoi vous me regardez comme ça ? Je vous ai fait quelque chose ?
-Mais Harry ne nous agresse pas comme ça, me dit indigné Hermione, tu nous as lâché et on ne savait pas où tu étais ! Même Dumbledore se faisait du soucis pour toi, tu devrais aller le voir et raconter ce qu'il ne va pas !
-non ne vous inquiétez pas, ça va, je me suis juste assoupis rien de grave.
-c'est encore à cause de ces cauchemars, reprit Ron, je l'ai dis à Dumbledore et il s'inquiète pour toi.
-ce n'est pas à cause de ça, je vais bien, sinon je vous le dirais, vous êtes mes meilleurs amis.
-oui oui, mais si tu as un problème, n'hésite pas à venir nous en parler !
-bien sur ! »
Je leur fis alors un de mes plus grand sourire hypocrite et je retournai à mon repas. J'y croyais pas, ils m'avais balancé à Dumbledore ces saletés, qu'est ce que je voulais leur arracher la tête. Meilleurs amis mon cul oui ! J'avais hâte d'enlever ce masque et leur dire ce que je pensais vraiment d'eux. Je vis alors Ginny me faire les yeux doux. Je l'avais oublié celle là, il faudrait que je lui dises que je préférais avoir des queues dans mon cul plutôt que foutre ma bite dans sa chatte en chaleur. Rien que d'y pense, ça me filait la chaire de poule. Comment on peut aimer une fille comme ça, elle me donnait envie de vomir tellement elle me répugnait.
Je finissais vite mon repas avant de quitter la table en souriant à mes « amis ». Je passais d'abord à mon dortoir pour prendre quelque affaires avant d'aller directement dans la chambre des secrets pour y continuer ma leçon et y dormir une peu. Je fis attention que personne ne me voit avant de siffler le mot de passage et fourchelangue et de descendre au plus profond de la chambre. Arrivé devant la chambre, je souffla un bon coup avant de pousser la porte. J'entrai doucement et posai me affaires sur la table la plus proche. Je vis le portrait de Serpentard me sourire et je m'avançai vers lui pour le saluer. Il m'expliqua rapidement ce que j'allais faire pendant notre leçon. Après quelque heures d'intense efforts je pus enfin rejoindre ma chambre que m'avais indiquer le portrait. Je m'écroulai sur le lit et m'endormis directement. En sursaut, je me réveillais quelque heures plus tard, les sens à l'affût et mon corps qui me brûlait. Mon dieu, je m'enflammai de l'intérieur, pas une chaleur douloureuse mais une chaleur douce et intense en même temps que me prenait des pieds jusqu'à la tête, plus forte dans les parties érogènes de mon corps. J'avais littéralement envie de baiser. Le plus doucement possible, je sortis de ma chambre pour rejoindre la surface. Je ne vis pas dans l'ombre, le portrait qui me regardait d'un petit sourire espiègle. Je fis le tour du château à la recherche d'un personne qui pourrait me soulager. Après une demi heure de recherche infructueuse, je commençai sérieusement à m'impatienter. Mon corps n'en pouvait plus non plus alors je décidais d'aller directement chercher à la source. Un préfet voilà ce qu'il me fallait. Je fis le tour dans tête de toutes les personnes susceptibles de me convenir. Draco aurait été une personne de choix mais je me la gardais pour plus tard. Je décidais d'aller voir le préfet des Poufsoufle qui ne pourrait pas me résister, ils étaient trop Poufsoufle pour ça. C'est avec un sourire sadique que je sifflais le mot de passe secret que m'avais donner Salazar pour ouvrir toutes les portes de Poudlard. Je le vis dormir à couette renversée et juste en caleçon. Je me pourléchai les lèvres avant de mettre un sort de silence sur toute la chambre. Je mis ma main sur ses lèvres pour ne pas qu'il fasse trop de bruit et le réveilla brutalement. Ses yeux s'écarquilla quand il me vit au dessus de lui, les yeux rouges de désirs.
« -mon cher petit, surtout ne fait rien qui pourrait m'énerver, laisse toi faire, tu vas voir tu vas aimer ! »
Bonjour à tous ! Je n'étais pas sur de poser la suite mais bon comme j'ai commencé hihihi !
Dites moi si vous avez aimez ou si je dois changer des choses et encore désolé pour les fautes, je n'ai personne pour me corriger ^^