J'avais pas publié par ici depuis un bon moment :o Et voila un nouveau petit chapitre à lire ;)
Belladone : Je porte malheur
Warnings : Les personnages et l'univers appartiennent à Hiro Mashima
Zeref marchaient sans but dans les bois, évitant simplement les villes et les routes fréquentaient. Il ne souhaitait pas tuer une fois de plus des innocents à cause de sa malédiction. C'est alors qu'il croisa Mavis, prostrée au sol et plus mince que jamais. La jeune mage semblait malheureuse, et cela serra le cœur du jeune homme.
Zeref s'accroupit à côté d'elle et posa sa main sur son épaule.
-Que se passe-t-il Mavis ? demanda-t-il doucement.
-Je suis maudite … J'ai tué la femme de Yuri.
Des sanglots secouèrent la jeune femme, et le mage la prit dans ses bras. Il lui avait pourtant dis de faire attention et de ne pas utiliser law tant qu'elle ne le maîtrisait pas entièrement. Malgré ses avertissements, la mage des illusions avait utilisé imprudemment cette magie perdue et Ankhseram l'avait maudite.
Une petite part du mage noir était heureuse, alors que la situation ne s'y prêtait pas. Maintenant que Mavis ne pouvait plus rester dans sa guilde et près des autres humains, il pouvait l'avoir pour lui seul. Dans un sens, Zeref s'en voulait pour ses pensées égoïstes, alors que sa bien-aimée souffrait.
Lorsque les sanglots de la jeune mage s'arrêtèrent enfin, elle s'essuya les yeux et regarda son ami dans les yeux. Elle l'aimait secrètement, mais jamais elle n'aurait imaginé pouvoir être auprès de lui.
-Zeref … je peux rester avec toi ? Juste tous les deux, pour l'éternité ?
Les yeux du mage noir s'écarquillèrent de surprise et de joie. Il la serra contre lui, plus heureux que jamais.
-Je t'aime Mavis. Je t'ai toujours aimé, et je t'aimerais toujours. Je suis à toi.
Les deux mages se penchèrent l'un vers l'autre, et leurs lèvres se rencontrèrent pour un doux baiser. Un instant après, la jeune femme s'effondra dans ses bras, morte de sa malédiction. Des larmes roulèrent sur les joues de Zeref, et il la serra contre lui, désespéré. Il venait de perdre la seule femme qu'il n'ai jamais aimé et qui le comprenait mieux que quiconque.