Je ne Possède pas Harry Potter tous les personnages appartiennent à J.K Rowling.


Note de l'auteur: c'est mon premier fic en Français dites-le moi si vous aimez.


Loup Blanc.

de Dranius

Cela faisait longtemps qu'elle n'était pas venue.

Depuis la chute du monde magique, et l'ascension du Seigneur des Ténèbres au pouvoir, une Neutre avait rarement le courage,( ou la folie,) de se rendre dans un lieu à découvert.

Mais il lui manquait trop.

Et s'était la date.

Le doute la harponnai, déchirait ses entrailles, serai-t-il la? Les Mangemorts l'aurait-ils tué comme tant d'autres créatures innocentes, du Moldu jusqu'au plus insignifiant insecte?

Après tout, ses choses étaient bien connus pour leur cruauté.

Ginevra Weasley rit amèrement.

Elle aussi avait connu son lot de cruauté. Se n'était pas en restant une parfaite petite Gryffondor qu'elle était encore en vie et encore moins en équilibre financier.

Elle l'avouait ouvertement. Elle était une tueuse et s'était uniquement parce qu'elle était douée qu'elle vivait encore de son art, comme elle le disait elle-même,

'Si je tue s'est pour mon bien, et pour celui de mes victimes. Je mets un point d'honneur a ne pas les faire souffrir et à rendre la mort aussi rapide que possible. Se n'est pas ma faute si elles se débattent'

Elle avait perdu sa conscience en coure de route, et s'était pour sa que Voldemort tenait ses services en plus haute estime.

Et en si haute paye.

Mais si un de ses ennemis la payait pour tuer un de ses Mangemorts, il savait aussi qu'elle le ferait sans broncher. Enfin, s'ils y mettaient le prix.

Et pour cela, il la respectait; aussi tordu que cela puisse paraître.

Après tout, il l'avait bien possédée dans sa jeunesse.

Avec un craquement sonore la jeune femme apparut au milieu d'une des allées secondaires de Préaulard, elle rabatit sa capuche sur sa chevelure rouge sang, parsemé de mèches d'orées. Sa petite révolution à elle.

A jamais une Gryffondor.

Quelque par au fon d'elle.

Elle entra dans la rue principale, sa cape noire ondoyant à sa suite, ailes noir d'un ange déchu, depuis longtemps oublié ou renié par ses proches.

Une Antigone moderne qui n'avait point sacrifié son corps pour ses convictions, mais son âme.

Les passants s'écartaient instinctivement sur sa route, presque malgré eux.

Du haut des ses 1 mètres 76, elle dominait la masse, sa silhouetter indiquait clairement que s'était une femme, mais ses yeux d'or étaient dépourvu d'émotions, autant que sa peu était blanche comme la mort qu'elle apportait.

Elle était belle, de la même façon qu'une statue de marbre que l'on trouve dans les musées est belle—froide, inaccessible, et parfaite au point de l'absurdité.

Elle sortit du village et entra dans la forêt interdite, Plus sauvage que jamais.

Elle était moin dangereuse tout en l'étant d'autan plus, les loups garou, les centaures, les géants et les trolls étant remplace par des Détraqueurs, des Etouffeurs et d'autres créatures sombres ayant fait alliance avec Voldemort.

Seul les Loups Argus tenaient leu coup en raison de leur neutralité.

Elle arriva au ruines de Poudlard. Dubledore avait été si sure que Voldemort ne détruirait pas ce lieux.

Visiblement, d'après les ruines noircies par les flammes et envahi par la végétation, il s'était trompé. Encore.

Elle ramassa un reste de bannière à demi calciné la ou se trouvait autrefois des arches majestueuses et un plafond enchanté... Rouge et Or.

Elle s'assit sur un rocher et releva sa capuche, laissant ses longs cheveux flotter au vent.

Et attendis.

Le lac était vide, asséché. Les Mangemorts avaient aussi externiné les sirènes, leur citée fantôme maintenant à l'air libre, la carcasse du poulpe géant non loin de là.

La jeune femme sentit une présence derrière elle. Elle su que ce qu'elle attendait était là.

Il était là.

"-Bonjour. Je sais que tu es là."

Elle se retourna vers son visiteur.

Un loup. Blanc comme neige. Sauf pour une tache noir sur sa jambe avant gauche.

Ses yeux bleu acier la transpercèrent.

" -Je croyais qu'ils t'auraient tué depuis le temps."

Le loup s'approcha d'elle et s'assit posant la tête sur les genoux je la jeune femme.

Elle passa ses mains dans sa fourrure, s'émerveillant a chaque fois à quelle point elle était soyeuse. L'animal soupira de plaisir. Ses grands yeux lui posant des questions muettes.

" -Tu m'a manquée. Tu sais cela m'étonne que tu sois là, chaque fois que je viens. Mais bon; peut être viens-tu pour la même raison que moi. Se n'est pas tous les jours l'anniversaire de la mort de Poudlard."

L'animal geignit tristement.

Il la comprenait. Il était le seul à la comprendre. Son seul ami. Elle se laissa glisser à terre, le loup s'allongea à moitié sur elle. S'était une habitude une tradition. Ils faisaient cela tous les ans depuis 6 ans. Poudlard avait brûlé 4 ans après qu'elle ai fini ses études.

" -Tu sais, je dois encore tuer quelqu'un. C'est un Mangemort."

Le loup releva la tête du ventre de la tueuse, penchant la tête sur le côté.

Elle rit. Mais sans joie.

" -Le plus étrange dans l'histoire, c'est que c'est Voldemort lui-même qui le veut mort. Et je n'ai jamais autant été payé pour tuer. Mais remarque; il s'agis de son bras droit. Lucius Malfoy."

Le loup retroussa ses babines.

Le soleil apparus et illumina son pelage de reflets d'orée elle y passa sa main, il sa calma.

" -Toi non plus tu ne les aime pas? Je te comprends. Tu sais, Lucius a un Fils. Il a un an de plus que moi. Je me demande se qu'il est devenu. Il y avait quelque chose de…différent…chez ce garçon. Il était au-dessus des choses, comme si ses problèmes dépassaient notre entendement, nous simples mortels…"

Elle rit. Un vrai rire frai et clair. Le loup la regarda avec émerveillement, tandis que la statue de marbre devenait déesse, l'espace d'un instant. Il frotta sa tête contre elle en signe d'affection.

"-Je me souviens de lui comme ci s'était hier! J'adorai quand un se disputait au milieu des couloirs. Son intellect m'épatai. Ses remarques piquantes changeaient du quotidien des insultes stupides de l'individu male en général. En plus il avait un sacré physique! La moitié des filles lui couraient après pour un baiser. Moi, j'ai perdu mon temps avec un garçon trop égoïste pour me repousser une bonne fois pour toutes. Mais je me demande vraiment de quoi à l'air Draco. Il doit être un Mangemort de toute façon."

Elle soupira. Le loup lui lécha la main affectueusement. Ses yeux d'argent la regardant avec surprise.

" -Hum… De toute façon je n'ai aucune chance de bien m'entendre avec lui, après tout ,je vais tuer son père... Ce n'est pas une grosse perte. Et d'un certain côté, je me venge de la mort de Ronald et Charly, de papa et de maman."

Aucune larmes ne lui vinrent elle avait depuis longtenps épuisé son stock.

La jeune femme regarda sa montre. 6 heurs.

"-Bon, je le tue se soir a minuit. Tu crois qu'il sera au manoir? Oui, moi aussi. Il va falloir que je m'infiltre, bon disons…il faut que je commence à…7 heures maximum."

Elle grogna.

" -Il faut que j'y aille. J'au peu tu sais. Il est vraiment très fort. Il se peut que je ne revienne jamais te voir. Je pourrai mourir."

Elle prit le loup dans ses bras et enfouis sa tête dans son cou. C'était la première fois qu'elle faisait ça mais le loup se laissa faire. Elle le regarda dans les yeux.

"-Si je ne suis pas là l'an prochain, ne m'attends pas. Je ne reviendrai jamais."

Le loup pleurnicha et mi le bout de son museau contre son nez.

" -Tu serai un homme, je crois que je tomberai amoureuse de toi. Allez. Maintenant, va-t-en."

Le loup s'écarta d'elle avec réticence. Ses grands yeux d'argent la regardant avec inquiétude.

Avec un craquement sonore le jeune femme disparut. Le loup s'allongea la ou elle était assise. Son odeur de chocolat et de pecan grillé l'envahis. Il soupira tristement et hurla. La chanson longue triste, pleine de questions existentielles que les hommes prennent trop peu le temps de se poser.

Il savait que s'était un piège. La jeune femme avait trop d'influence sur les pions de Voldemort. Force de refuser la marque elle soufflait un vent de révolution.

Elle allait mourir ce soir. C'était un piège.

Et il ne lui avait rien dit.

Le loup devin flou quelques secondes jusqu'a ce qu'un jeune homme aux cheveux tellement blonds qu'ils étaient blancs et aux yeux d'argent le remplace.

Elle aurai pu l'aimer.

Elle allait mourir à cause de lui, mais grâce à son père.


Note de l'auteur;

Je ne sais pas si je dois m'arrêter là ou bien continuer. Je trouve la fin un peu dépressive,et j'attends votre opinion pour savoir si vous voulez la suite.

Alors 'one-shot' ou pas 'one-shot' ?

Review!

Dranius.