Bonjour tout le monde!
Permettez-moi de vous présenter mon nouveau bébé, ma toute nouvelle fic à chapitre. Bon je suppose que tout le monde connaît ça par cœur mais bon…
- cette fic contient des relations homosexuelles donc si vous n'aimez pas ne lisez pas.
- il se peut qu'elle contienne aussi des relations sexuelles explicites (c'est fort probable même) donc si c'est le cas je le signalerai au début du ou des chapitres concernés.
- Attention Mpreg!
- les dialogues sont précédés d'un tiret.
- les pensées sont entre guillemets.
- les documents (journaux, lettres…) sont en italique.
Notes: Harry à 17 ans et entre donc en septième année d'étude à Poudlard. Je respecte les cinq premier tomes mais je considère que la sixième année se passe en temps de guerre, la chasse aux Horcruxes à eu lieu mais Draco n'a pas eu l'ordre de tuer Dumbledore (qui est donc vivant et n'est pas mourant).
Voilà je pense avoir tout dis alors…
Bonne lecture!
.oooOooo.
Les Ténèbres lui vont si bien.
Chapitre 1: En plein tourments.
C'était une magnifique journée d'été. Le soleil accompagné d'une légère brise avait comme un effet euphorisant sur les gens. Les cris des enfants, s'amusant dans le parc non loin de là, s'élevaient dans les airs. Dans une autre rue, une famille prenait sa voiture pour un après-midi à la piscine. Et d'autres profitaient simplement du beau temps pour se reposer et se détendre. On sentait bien que tous profitaient au maximum des derniers jours de vacances avant de reprendre le travail pour les uns, l'école pour les autres.
Au 4 Privet Drive, petite maison de banlieue typiquement britannique, le calme régnait en maître. Ses habitants: Vernon, Pétunia et Dudley Dursley étaient absents depuis maintenant quelques jours étant allés rendre visite à la sœur de Vernon, Marge. Tout était si silencieux que l'on aurait pu croire que la maison était vide. Pourtant, dons une petite chambre aux rideaux tirés se trouvait un jeune homme brun aux yeux verts. Harry Potter, exclus d'office de la sortie familiale, était assis sur son lit dans l'obscurité. Il était là depuis des heures, les genoux ramenés contre sa poitrine et entourés de ses bras, le regard dans le vide.
Depuis deux semaines le quotidien d'Harry Potter se résumait à peu de choses: se lever, se laver, manger le minimum vital et s'enfermer dans sa chambre dans le noir à contempler le vide pour, la nuit tombée, tenter de dormir quelques heures. Un comportement dépressif dont personne ne se souciait, sa famille étant trop occupée à l'ignorer pour ensuite l'oublier chez eux avec l'ordre de ne pas faire exploser la maison pendant leur absence. Ses amis Ron et Hermione auraient pu s'inquiéter pour lui mais, comme l'été précèdent, il n'avait eu aucunes nouvelles pour des raisons de sécurité et lui-même ne leur avait pas écrit. De plus, fait nouveau cette année, il n'avait pas eu le droit de se rendre chez la famille Weasley ou au QG de l'Ordre.
Mais ce n'était pas tout ce qui perturbait le brun. La véritable raison de son dépérissement était un événement qui avait eu lieu cet été sans que personne ne s'en aperçoive. Comme toujours en y repensant les yeux d'Harry se remplirent de larmes qu'il laissa librement couler. À quoi bon les retenir, personne n'était là pour les voir et une fois à Poudlard cela n'aurait plus la moindre importance.
Lorsque les larmes cessèrent la nuit commençait à tomber. C'est à ce moment-là, pour ne pas attirer l'attention des moldus vivants dans le quartier, qu'un hiboux frappa à la fenêtre de la chambre de son bec. Sortant de ses pensées, Harry se leva en s'essuyant les yeux du revers de la manche et ouvrit la fenêtre. Un premier volatile tenant une lettre entra, rapidement suivit par quatre autres portant un énorme paquet. Aussitôt le colis et la lettre lâchés sur le lit, les cinq hiboux repartirent laissant le jeune homme à nouveau seul. Il s'approcha du lit et attrapa tout d'abord la lettre.
Cher Harry,
J'espère que tu as passé de bonnes vacances. Je t'informe que demain des membres de l'Ordre iront te chercher chez ton oncle et ta tante pour te conduire à la gare King's Cross pour te ramener à Poudlard. Tu trouveras ci-joint ton billet de train et dans le colis tes nouveaux manuels de cours. Soit prêt à partir dès leur arrivée à 10h30.
Portes-toi bien.
Arthur Weasley.
Harry partit ouvrir sa malle au pied du lit, y déposa la lettre puis attrapa le carton, l'ouvrit et le renversa dans la malle avant de la refermer. Aussitôt fait il reprit sa position initiale et attendit le lendemain.
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- Harry! Je suis si heureuse de te revoir!
'Craaacccc'
- Nymphadora, fait un peu attention où tu marches.
Fidèle à sa maladresse, Nymphadora Tonks venait de renverser un des précieux vases de Pétunia Dursley.
- Ne m'appelle pas Nymphadora! Répondit la jeune femme dont les cheveux venaient de passer au rouge foncé.
- Ça suffit Tonks! Potter, tu es prêt à partir?
Harry regarda d'un œil morne Tonks souriante, Kingsley qui réparait le vase et Maugrey Fol Œil qui lui parlait, et donna son affirmation d'un signe de tête.
- Bien. Approchez-vous tous. Nous allons directement à la gare par portoloin.
Les trois autres s'approchèrent de Maugrey et posèrent un doigt sur la vielle canette de bière qu'il tenait.
- Attention, 3, 2, 1...
Un crochet invisible leur attrapa le nombril et ils quittèrent le salon des Dursley pour atterrir durement sur leurs pieds quelques secondes plus tard dans un coin à l'abri des regards de la gare.
- Harry, commença Tonks. Nous ne pouvons aller plus loin sans nous faire repérer. Tu ne risques rien à présent. Passes la barrière et rejoint directement les Weasley. D'accord?
- D'accord. Répondit-il.
- Et n'oublis pas Potter: Vigilance constante.
Sur ce dernier rappel de Maugrey, Harry salua ses trois accompagnateurs puis se dirigea droit dans le mur pour rejoindre la voie 9 ¾. Il regarda l'heure, 10h55, il était arrivé juste à temps.
- Harry! Dépêches toi le train va bientôt partir!
Il leva les yeux vers la jeune fille qui venait de l'interpeller, Hermione Granger, entourée de quatre Weasley. Après moult embrassades de Mme Weasley et recommandations de prudence de son époux, il pût enfin rejoindre le train et s'installer dans une cabine avec Hermione, Ron et Ginny.
À 11h00 le train se mit en marche. Il retournait enfin à Poudlard le lieu où il avait vécu les meilleures années de sa vie. Mais aujourd'hui, pour la toute première fois, le cœur n'était pas du voyage.
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Les calèches tirées par les Sombrals, le château majestueux, la grande salle resplendissante. Ils étaient arrivés à Poudlard. Harry s'assit à la table des rouge et or sous le regard inquiet de ses deux meilleurs amis. Pendant le trajet ils avaient bien remarqué que le brun n'allait pas bien mais impossible de lui faire dire quoi que ce soit. Le brun ne prenait même pas la peine de nier avoir des problèmes, il ignorait tout simplement leurs questions. Pourtant son air sombre et les cernes qu'il arborait sous les yeux les inquiétaient énormément.
- Et bien Pottychoux, tu en fais une tête. C'est de t'être rendu compte que tu es entouré de miséreux qui te met dans cet état? Lança Draco Malfoy provoquant l'hilarité chez les Serpentards.
- Tais-toi Malfoy! Espèce de sale serpent! Lui répondit Ron toujours aussi sensible sur le manque d'argent de sa famille.
- Je ne crois pas t'avoir adressé la parole Weasmoche, alors couché panier.
- Laisses tomber Ron, tu sais comment est Malfoy. Intervint Hermione en retenant le roux par le bras.
- Tu as raison. Il n'en vaut pas la peine. Dit-il en se rasseyant.
- C'est toute votre bande de pouilleux qui n'en vaut pas la peine.
Sur ces entrefaites tout le monde se calma un peu. Ron fulminait contre les Serpentards en général et Draco Malfoy en particulier. Hermione essayait de calmer son ami tout en jetant des coups d'œil perplexes à Harry qui n'avait pas réagi face au blond, semblant complètement désintéressé de la situation. Même Draco regardait le brun bizarrement, il ne s'était pas énervé, aucun cri, pas le moindre geste malgré les provocations. Il espérait que cet état n'était que passager car la vie à Poudlard perdrait de son piquant sans ses joutes verbales avec le Griffondor.
De son côté Harry n'avait que faire de ces querelles sans importance. Toutes ses pensées étaient tournées vers les prochains jours à venir et le plan qu'il avait mis en place ces deux dernières semaines et qu'il devait accomplir à tout prix. Après tout irait mieux et la vie reprendrait son cours normal. Il agirait dès le lendemain sachant que ce soir il ne pourrait pas échapper à la petite fête de retrouvailles habituelle avec Ron, Neville, Dean et Seamus.
- Oh non, regardez, on va encore avoir Snape en défense contre les forces du mal. Lança Ron.
- Il aura fallu cette espèce de vampire pour vaincre la malédiction de ce poste. Commenta Neville.
- J'avais justement espéré qu'on ne le revoit plus cette année à cause de la malédiction. Répondit Ron désespéré.
- Ça aurait été trop beau. Finit Neville apparemment résigné à devoir subir une année de plus son professeur honnis.
« Snape n'est donc plus en charge des potions cette année aussi. Tant mieux, ce sera plus facile pour moi d'appliquer mon plan. » Pensa Harry.
Les portes de la grande salle s'ouvrirent sur le professeur MacGonagall suivie par les premières années peu rassurées. La femme monta sur l'estrade, sortit le choixpeau magique et après la traditionnelle chanson de ce dernier la répartition pu commencer. Une fois celle-ci terminée, Albus Dumbledore s'avança devant son pupitre et le silence se fit.
- Mes chers élèves. Je suis ravi de vous accueillir dans cette école qui pour cette année sera votre maison et votre refuge. Dans ces temps difficiles où règne l'ombre de Voldemort et de ses acolytes, Poudlard vous apportera sécurité et protection.
Un frisson d'inquiétude parcouru la salle à la mention du mage noir mais le directeur, imperturbable, continua son discours.
- Mr Russard m'a demandé de vous rappeler qu'il est interdit de courir et de lancer des sorts dans les couloirs. La forêt interdite est comme son nom l'indique interdite d'accès aux élèves sous peine de vous exposer à de grands dangers. Sur ce, je pense qu'il est grand temps de nous sustenter. Et n'oubliez pas, la vérité n'est pas toujours celle que l'on croit et parfois il faut approcher le plus sombre de nous-même pour la découvrir. Bon appétit!
Les tables se recouvrirent de nourriture sur laquelle les élèves se jetèrent tout en s'interrogeant sur le degré de sénilité de leur directeur.
- Plus le temps passe plus il devient fou.
- Ron! Ne dit pas des choses pareilles. Albus Dumbledore est un très puissant sorcier.
- Hermione, tu vas me dire que tu as compris ce qu'il vient de dire.
- Et bien… C'est vrai que c'était assez confus mais je suis sûre que ses paroles ont un but précis même si on ne le voit pas encore.
- Si tu le dit. Répondit le roux septique.
- Tu ne manges pas Harry? Demanda Ginny.
- Si, si. Répondit-il en se servant deux feuilles de salade.
Après le repas, le strict minimum pour le brun malgré les encouragements de ses amis, chacun regagna son dortoir pour dormir. Ou, comme pour les cinq garçons du dortoir d'Harry, une soirée discussions, blagues et bonbons en tout genre commença.
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Trois jours plus tard dans un coin reculé de la bibliothèque, deux personnes complotaient dans un silence tout relatif.
- J'arrive pas à croire que tu es pu me traîner ici après à peine trois jours de cours Hermione. Râla Ron.
- Chut, moins fort.
- Oui, oui. Pardon. Mais quand même c'est abusé.
- Il fallait que je te parle seule à seul.
- À propos d'Harry?
- Oui. Tu as vu dans quel état il est?
- Je sais. Il a maigrit pendant les vacances et il ne parle presque pas depuis qu'on l'a revu. Sans parler de ses disparitions répétées jours et nuits. Tu crois que sa famille moldue lui a fait quelque chose?
- Je ne sais pas. Si ça continue il va falloir en parler à Mme Pomfresh et au Pr. MacGonagall. Son état de santé m'inquiète beaucoup.
- Si seulement il avait eu le droit de venir nous voir cet été, je suis sûr qu'il irait bien.
- Tu as peut être raison mais tant qu'Harry refusera de nous en parler, on ne saura pas ce qu'il se passe.
- Si à la fin de la semaine ça ne s'arrange pas, on en parlera au Pr. MacGonagall. Avec la menace de Tu Sais Qui, Harry est bien trop vulnérable dans son état.
La jeune fille acquiesça. Elle et Ron s'inquiétaient beaucoup pour leur ami et celui-ci refusait toute aide de leur part. C'était vraiment frustrant de se sentir aussi inutile pour leur ami.
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Loin de l'inquiétude de ses amis, Harry Potter, installé au beau milieu des toilettes de Mimi Geignarde contemplait la potion en train de frémir sous ses yeux dans un chaudron. Il attrapa le grimoire de potion qu'il avait volé à la bibliothèque la nuit suivante de son arrivée à Poudlard, lu un passage de la recette et ajouta un des ingrédients volés à la réserve de potion le lendemain du vol du grimoire.
Voilà où disparaissait le jeune homme et cela faisait deux jours qu'il s'attelait à la préparation de sa potion, une potion plutôt compliquée. Lui qui n'avait jamais trop apprécié la matière y mettait cette fois toute l'attention nécessaire. Comme quoi la médiocrité de ses notes venait en réalité de Snape.
Il avait à nouveau choisi de s'installer dans ces toilettes sachant que personne n'irait l'y déranger et avait à cet effet passé un accord avec Mimi Geignarde. Le fantôme allait se baladait où elle le voulait sauf ici pendant une semaine et en échange Harry lui avait jeté un sort, dont il était assez fier d'ailleurs, qui tenait Peeves à distance. Cet arrangement lui avait fourni toute la solitude qu'il désirait.
Ajouter la plume de moineau cracheur de feu et laisser frémir à feu doux pendant 24 heures. Une fois la potion terminée, celle-ci doit être bleu pastel zébrée de rouge sang. La potion pourra être utilisée de suite et conservée sept mois, trois jours, huit heures, vingt-et-une minutes et trente-six secondes.
«Encore heureux que Snape ne soit plus en charge des potions ou il aurait de suite remarqué les ingrédients manquants dans la réserve. Et avec sa partialité légendaire, il m'aurait immédiatement soupçonné. Ce coup de chance me simplifie grandement les choses et dans 24 heures je pourrai reprendre enfin une vie normale. Ou du moins tout aussi normale qu'elle puisse l'être. »
Le jeune homme se leva et quitta les toilettes pour aller en cours. Il fallait qu'il se fasse le moins remarquer possible, son plan était bien trop important et trop près du but pour que tout rate. Même s'il se doutait bien que ses amis Ron et Hermione le tenaient à l'œil, inquiets pour lui.
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Le lendemain dans le bureau du Pr. Dumbledore, les Pr. Slughorn, Snape et MacGonagall discutaient
- En faisant un rapide inventaire j'ai remarqué que des ingrédients ont été volés. Dit le Pr. Slughorn.
- Lesquels? Demanda Albus.
- Tenez, voici la liste.
Le directeur attrapa le parchemin et le parcouru brièvement avant de le faire passer au Pr. Snape.
- Écorce de bouleau gruyère, plume de moineau cracheur de feu, pierre noire de la forêt de la brume. Que des ingrédients rares, difficiles à se procurer. Encore un coup de Potter!
- Severus! Tous les vols et autres manquements aux règlements de l'école ne sont pas du fait de ce garçon tout de même. Rétorqua le Pr. MacGonagall.
- Nous ne pouvons négliger qu'Harry a un comportement étrange ces temps-ci Minerva.
- Albus…
- Severus, quel genre de potion peut-on faire avec ces ingrédients?
- C'est difficile à dire en ne sachant pas quels ingrédients basiques entrent dans la composition de la potion. Des potions de poison, de décuplement des capacités sensorielles, de bonne humeur perpétuelle, d'oubli et encore bien d'autres aux effets tout aussi différents. Peut-être que Miss Granger l'aide à faire la potion.
- J'en doute. Miss Granger et Mr Weasley semblent eux aussi très inquiets.
- Albus, vous croyez vraiment que Mr Potter a commis ce vol?
- Je ne vois personne d'autre Minerva.
- Excusez-moi mais un cours m'attend. Intervint le Pr. Slughorn.
- Allez-y. Répondit le directeur. Nous nous chargeons de cette affaire.
Le maître des potions quitta le bureau alors que le Pr. MacGonagall reprenait la parole.
- Nous devrions demander aux amis de Mr Potter où il serait susceptible de se trouver puisqu'il n'est pas allé à son derniers cours aujourd'hui.
- Très bien. Allons-y.
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Harry regarda un instant sa potion, bleu pastel zébrée de rouge sang, et attrapa un parchemin et une plume. Prenant le temps de peser ses mots, il écrivit une lettre, puis il versa de la potion dans un verre. Ne voulant faire aucune erreur il relu la recette du breuvage, ses effets et contre-indications mais ne trouva rien à redire.
« Je n'ai pas commis la moindre erreur, mon plan se déroule parfaitement et une fois que j'aurai bu cette potion je redeviendrais celui que j'étais avant de quitter Poudlard. »
Harry s'apprêtait à attraper son verre lorsqu'un bruit l'interpella. Levant les yeux il vit la poignée de la porte s'abaisser et entendit des voix derrière le panneau de bois.
« Non pas maintenant! J'y suis presque! »
Sans perdre de temps il saisit la lettre qu'il venait d'écrire et la fourra dans sa poche. La porte s'ouvrit alors qu'il attrapait sa potion pour la porter à ses lèvres.
En entrant dans les toilettes de Mimi Geignarde, Hermione, Ron, les Pr. Dumbledore, Snape et MacGonagall virent tout d'abord Harry assis devant un chaudron, un grimoire à ses côtés et ses affaires étalées dans un coin.
- Harry! Tu es là, ça fait des heures qu'on te cherche. Lança Hermione.
Il leur fallu quelques secondes de plus pour remarquer la potion qu'il tenait à la main et avant qu'aucun d'entre eux n'ai pu esquisser le moindre geste, il avait avalé la potion.
À suivre…
.oooOooo.
Alors qu'est-ce que vous en pensez pour un début? J'espère que ça vous a plu
Je pense que je posterai le prochain chapitre dans une semaine, en attendant laissez-moi des tas de review pour me dire ce que vous pensez de ma fic.
À bientôt.