Salut à tous!

Tout d'abord je remercie toutes les personnes qui m'ont laissé des review, ça m'a fait vraiment plaisir.

Voilà enfin le deuxième chapitre de cette fic. J'espère qu'il vous plaira tout autant que le premier.

Bonne lecture!

.oooOooo.

Les Ténèbres lui vont si bien

Chapitre 2: Les vacances fantômes.

Dans la pièce silencieuse, le temps semblait s'être figé. Personne n'osait faire je moindre mouvement, cherchant à comprendre ce qu'il se passait. Les Pr. Dumbledore, Snape et MacGonagall ainsi que Ron et Hermione regardaient Harry d'un air soucieux et à la fois surpris. De son côté le brun n'était pas en reste, il fixait les cinq autres le visage stupéfait comme s'il se demandait lui-même la raison de leur présence à tous dans ces lieux.

« Mais qu'est-ce qu'il se passe ici? Ces toilettes, je les reconnais, ce sont celles de Mimi Geignarde. Ça veut donc dire que je suis à Poudlard. Je ne comprends pas. Ron et Hermione sont là aussi. Pourquoi me regardent-ils tous avec cet air-là? Il s'est passé quelque chose? » Pensa Harry.

- Pr. Que se passe-t-il? Demanda-t-il, confus.

- Harry, nous nous inquiétons beaucoup pour toi. Nous sommes ici avec tes amis pour comprendre ton récent comportement.

« Mon comportement? »

- Je ne comprends pas de quoi vous parlez?

- Harry. Intervint Hermione. Nous avons peur pour toi. Tu es étrange depuis ton retour à Poudlard et tu as perdu beaucoup de poids. Qu'est-ce qu'il t'est arrivé pendant les vacances? Parles-nous.

- Nous sommes tes amis, tu peux nous faire confiance. Renchérit Ron.

- Je… Notre retour à Poudlard?

Harry était de plus en plus perdu. Ce qu'on lui disait n'avait aucun sens pour lui. Comprenant que le jeune homme ne cherchait pas à échapper aux questions mais semblait ne réellement pas comprendre la situation, le Pr. Dumbledore posa une unique question tout en craignant la réponse qui allait suivre.

- Harry. Qu'elle est la dernière chose dont tu te souviennes?

- J'étais dans le Poudlard Express pour rentrer chez mon oncle et ma tante. Et tout d'un coup je me retrouve ici. Je n'y comprends rien professeur.

Le silence suivit cette déclaration. Tous étaient stupéfaits par ces propos. Le Pr. MacGonagall avait mis sa main devant sa bouche comme pour empêcher un cri d'exclamation de s'en échapper. Severus Snape fut le premier à réagir. Il se dirigea d'un pas vif vers le jeune homme toujours assis à terre et s'empara du grimoire ouvert à ses côtés. Il l'examina un moment puis fit de même avec le chaudron.

- Severus. Qu'elle est cette potion? Demanda le Pr. MacGonagall.

- 'Memoria minus partis'. L'utilisateur de cette potion doit la boire en pensant à l'événement qu'il veut oublier. Je dois bien avouer Potter que vous m'impressionnez, vous avez parfaitement réussit une potion de haut niveau. Comme quoi lorsqu'il s'agit de causer des problèmes, vous savez vous surpasser.

- Hein?

- Severus, ce n'est pas le moment. Intervint Albus. Harry, nous sommes à la première semaine de la rentrée de septembre. Tu ne te souviens vraiment pas de ces vacances? De ce qui aurait pu te pousser à perdre la mémoire?

- Pas du tout professeur. Je ne me souviens de rien.

Tous les six étaient plus que frustrés par cette réponse. Harry le premier car ce trou de deux mois dans ses souvenirs lui faisait peur, d'autant plus que c'était apparemment lui-même qui l'avait provoqué.

- Nous n'avancerons pas plus dans cette affaire maintenant. Commença Minerva MacGonagall. Mr Potter, relevez-vous, nous allons vous conduire à l'infirmerie. Même si nous ne pouvons traiter votre amnésie dans l'immédiat votre état de santé s'est fortement dégradé au cours de ces deux mois.

Toujours dans le brouillard, Harry se leva lentement. Avant qu'il n'ait pu faire quoi que ce soit, il se retrouva avec son amie Hermione dans les bras. Ses nerfs venaient tout juste de lâcher, pourquoi son ami ne lui avait pas confié ses problèmes? Elle et Ron avaient pourtant toujours été là dans les moments les plus durs, Harry le savait. Mais comme toujours il avait gardé pour lui ce qui le préoccupait et voilà le résultat maintenant.

Hermione reprit le contrôle de ses émotions et s'éloigna du brun avec un sourire un peu gêné. Ron en profita pour faire une accolade à son ami ne sachant pas comment exprimer autrement son soutien. Harry regarda ses deux meilleurs amis. Il se sentait coupable de les rendre si inquiets. Du peu qu'il avait compris de cette histoire Ron et Hermione avaient cherché à l'aider et lui, les avait repoussé. Tout ça lui donnait l'impression de ne pas mériter cette amitié alors même qu'il ne savait pas ce qui l'avait poussé à agir comme ça.

- Severus, renseignez-vous sur cette potion, je veux tout savoir sur ses effets et s'il existe un éventuel antidote. Parla le directeur. Minerva, conduisez Harry à l'infirmerie. Bien entendu Miss Granger et Mr Weasley peuvent l'accompagner.

Les deux concernés acquiescèrent et se placèrent près d'Harry. Albus Dumbledore sortit sa baguette pour rassembler les affaires du jeune homme dans son sac puis reprit la parole.

- Tu passeras sûrement la nuit à l'infirmerie Harry. Je compte sur tes amis pour te dire ce qu'il s'est passé depuis la rentrée, mais plus tard, tu as bien assez à penser pour l'instant. Je passerai te voir plus tard pour prendre de tes nouvelles.

- D'accord Albus. Jeunes gens, veuillez me suivre. Dit le Pr. MacGonagall.

Harry, Ron et Hermione suivirent leur professeur de métamorphose en silence à travers les couloirs de l'école.

Restés seuls, les Pr. Dumbledore et Snape prirent la direction opposée. Le directeur semblait extrêmement soucieux.

- Severus. Croyez-vous que tout ceci puisse avoir un rapport avec Voldemort? Demanda-t-il.

- Je ne pense pas Mr le directeur. Je ne peux en être sûr mais si le Seigneur des Ténèbres avait tenté quelque chose contre Potter, il y aurait eu des échos. Je pencherai plus vers sa famille moldue ou un autre élément extérieur.

Le vieil homme resta songeur tout le reste du trajet et ne reprit la parole qu'à l'intersection du couloir des cachots et celui qui conduisait à son bureau.

- Je compte sur vous pour trouver tout ce que vous pouvez sur cette potion.

- Bien Mr le directeur.

Les deux hommes se saluèrent brièvement avant de prendre chacun leur chemin.

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Mme Pomfresh observait Harry Potter avec attention. Minerva venait de lui expliquer les derniers évènements et tout cela la rendait plus que perplexe.

- Alors vous ne vous souvenez vraiment de rien? Demanda-t-elle.

- Non.

- Et le Pr. Snape est formel. La potion n'est pas ratée? Demanda à nouveau l'infirmière à Minerva cette fois.

- Il a affirmé qu'elle était réussie. Répondit la femme.

- Bien. Veuillez-vous éloigner pendant que j'examine Mr Potter.

Le Pr. MacGonagall, Ron et Hermione s'éloignèrent de quelques mètres pour laisser libre champs à l'infirmière. La femme fit subir au jeune homme une interminable série d'examens en tous genres avant d'être enfin satisfaite.

- Voilà, j'ai terminé. Lança-t-elle au grand soulagement de son patient.

Les trois autres s'approchèrent du lit.

- Comment va-t-il? Demanda Ron. Harry va bien, n'est-ce pas?

- Calmez-vous Mr Weasley. Laissez Mme Pomfresh parler. L'interrompit le Pr. MacGonagall.

- Merci Minerva. Alors Mr Potter votre vie n'est pas en danger mais votre état général doit être surveillé. Vous avez perdu du poids et manquez de sommeil depuis plusieurs jours. Il va falloir surveiller votre alimentation et vous reposer.

- D'accord. Répondit le jeune homme.

« Ai-je le choix? » Pensa-t-il.

- Au sujet de cette potion que vous avez pris, hors mis votre amnésie, elle ne semble pas avoir provoqué d'autres effets sur votre organisme.

- C'est une bonne chose. Commenta le professeur de métamorphose.

- Harry, pourquoi as-tu fait ça? Demanda Hermione.

- Je ne sais pas.

- Mais tu dois bien avoir une petite idée.

- Je ne sais pas.

- Peut être que ta fa…

- Je ne sais pas! S'énerva-t-il.

La jeune fille se tut face à ce brusque éclat de voix. Elle réalisa que son ami était bien plus frustré qu'elle par son amnésie et qu'il devait se poser lui-même beaucoup de questions sans réponses. Harry n'avait vraiment besoin que l'on s'acharne sur lui.

- Je suis désolée. Je veux juste t'aider mais je me suis un peu emportée. S'excusa-t-elle.

- C'est plutôt moi qui me suis emporté, non. Dit-il en tentant un sourire.

L'atmosphère se détendit alors quelque peu. Hermione et Ron échangèrent un regard un peu soulagé. Ils ne savaient toujours pas la vérité sur cette histoire mais voir Harry sourire pour la première fois depuis qu'ils l'avaient retrouvé les rassurait vraiment sur l'avenir.

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Assis à son bureau, Albus Dumbledore réfléchissait. Le comportement dépressif d'Harry ces derniers jours et maintenant cette amnésie volontaire le plongeaient dans la plus grande perplexité. Il commençait à se demander s'il n'avait pas fait une erreur en empêchant le jeune homme de quitter sa famille moldue pendant ces vacances. En voulant garder le garçon sous contrôle en prévision des combats à venir contre Voldemort, il avait été bien trop négligent de penser que rien ne pourrai l'atteindre à Privet Drive.

« Qu'a-t-il donc pu arriver en l'espace de deux mois? Severus n'a apparemment rien entendu de suspect du côté du mage noir. Je peux me fier à ses propos, je n'ai senti aucun mensonge dans ses paroles. Mais d'un autre coté je doute que la famille d'Harry lui ai fait quoi que ce soit. Soit, ils le détestent mais ces dernières années ils se sont contentés de l'ignorer. Je doute qu'ils aient pu tenter quelque chose contre ce garçon alors même que c'était leur dernier été en sa présence. »

Albus posa son menton sur ses mains jointes. Son regard pensif parcourrait la pièce à la recherche d'une quelconque réponse à ses interrogations.

« Tom aurait-il pu agir par l'intermédiaire de la cicatrice pour atteindre Harry? Je pensais pourtant que l'esprit du garçon pouvait le repousser. C'est tout de même une piste à suivre. Tom a très bien pu tenter d'affaiblir le mental d'Harry, lorsque le garçon n'avait personne à ses côtés pour le surveiller, et n'en parler à personnes pas même à ses plus fidèles mangemorts pour éviter les fuites. Cela expliquerait pourquoi Severus n'est au courant de rien. Mais si cette hypothèse est la bonne, cela signifie aussi qu'Harry ne m'a délibérément pas communiqué les actions du mage noir. »

Le vieux sorcier siffla d'agacement. Si Tom préparait quelque chose il fallait qu'il sache quoi à tout prix. Severus ne savait rien de toute évidence et Harry ne lui avait pas confié être la cible du mage noir. Si toute son hypothèse s'avérait juste alors il perdait le contrôle du jeune homme. Cela tombait vraiment au plus mal, Albus pressentait que les combats contre les Ténèbres allaient prendre un nouveau tournant dans les prochains mois, ce n'était pas le moment de perdre son influence sur son meilleur atout dans cette guerre.

« Finalement cette amnésie pourrait s'avérer plutôt bénéfique. Si Harry a perdu d'une façon ou d'une autre sa confiance en moi au cours de cet été alors cette potion le lui aura fait oublier. Ignorer ce qui lui est arrivé est peut être peu cher payé pour le voir retourner à la recherche des Horcruxes. »

Quelque peu rassuré par ses pensées, Albus se détendit dans son fauteuil. Il décida qu'il devrait être plus attentif aux faits et gestes d'Harry à l'avenir, il avait bien trop d'importance pour risquer de le perdre. Quand à Tom, il allait demander à ses espions de le surveiller d'un peu plus prêt, il ne pouvait supporter de telles lacunes dans les informations qu'il obtenait sur l'ennemi.

'Toc, toc'

Le directeur de Poudlard interrompit ses pensées en entendant frapper à sa porte.

- Entrez. Dit-il.

La porte s'ouvrit sur le maître de défense contre les forces du mal.

- Mr le directeur.

- Severus, asseyez-vous.

- J'ai terminé mes recherches sur la potion.

- Je vous écoute.

- Comme je l'avais déjà présumé la potion est parfaitement réussie et a eu les effets escomptés. Cette potion a été conçue pour que son utilisateur puisse effacer volontairement une partie de sa mémoire.

- Et existe-t-il un antidote?

- Un seul. Une autre potion combinée au désir profond de retrouver la mémoire. C'est bien là que se trouve le problème.

- Comment ça?

- Tout d'abord l'antidote nécessite de la fleur de kakachou qui ne fleurie qu'une fois par mois pendant une journée. Nous avons déjà raté la floraison de ce mois-ci, il nous faudra donc attendre un mois de plus pour commencer la potion dont cette fleur est l'élément principal. De plus la préparation de cet antidote prendra à lui seul vingt-sept jours.

- Cela signifie presque deux mois d'attente.

- Ce n'est pas tout. La potion sera inefficace si Potter n'a pas le désir profond de retrouver la mémoire. Et étant donné que l'amnésie est volontaire au départ, sans en avoir conscience Potter peut ne pas avoir ce désir. Je doute qu'il puisse se rappeler de quoi que ce soit Mr le directeur.

- À moins que d'ici deux mois il éprouve ce désir.

Le Pr. Snape resta silencieux. Il doutait fortement du retour de la mémoire de son élève détesté, ce dernier n'avait jamais eu de cesse de provoquer la pagaille sur son passage alors pourquoi leur ferait il le plaisir de se souvenir de ses vacances.

- Je vous remercie pour ces recherches Severus. Je vais me rendre à l'infirmerie pour informer Harry de vos résultats. Pourriez-vous repasser dans mon bureau ce soir après le repas? Nous devons parler de Voldemort.

- Bien monsieur.

Les deux hommes quittèrent le bureau et prirent chacun un chemin différent, l'un vers l'infirmerie, l'autre vers les cachots.

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La nuit était noire. Quatre des cinq garçons du dortoir dormaient du sommeil du juste. Seul Harry, assis sur son lit, restait éveillé. Contre toute attente Mme Pomfresh avait accepté de le laisser regagner son dortoir à la condition de manger un repas digne de ceux de son ami Ron et la promesse de passer à l'infirmerie au moins une fois par jour. Dès son arrivée dans la tour, il avait été assailli de questions par ses camarades. Comment avaient-ils tous appris son séjour à l'infirmerie resterait à jamais un mystère. Toujours est-il qu'Harry avait eu tôt fait d'aller se barricader dans son dortoir à l'abri des rideaux de son lit.

Maintenant à une heure du matin il ne pouvait toujours pas dormir malgré la fatigue. Les pensées tourbillonnaient dans sa tête sans relâche depuis des heures. Pourquoi avait-il fait ça? Effacer une partie de ses souvenirs sans crier gare, sans laisser la moindre explication. Il voulait savoir ce qu'il s'était passé et d'un autre coté était terrifié à l'idée de se rappeler. S'il avait voulu oublier une fois, il était fort probable que si ses souvenirs revenaient il voudrait les oublier à nouveau. Il restait irrémédiablement tiraillé entre son envie de dévoiler cette zone d'ombre de sa vie et celle de laisser tomber, d'accepter son choix et ne pas rentrer dans un potentiel cercle infernal.

« Je ne comprends pas ce qui aurait pu me pousser à agir comme ça. Après tout j'ai vécu des choses horribles et dures tout au long de ma vie et j'ai toujours su les surmonter. Qu'est-ce qui a bien pu m'arriver pour que cette fois je n'y arrive pas. »

Plus que frustré Harry se laissa tomber en arrière pour pouvoir s'allonger complètement sur son lit. Fixant le plafond avec insistance, il continua à s'interroger.

« Ron est persuadé que ma famille m'a fait quelque chose. Je n'y crois pas trop, je n'ai aucune trace de coup et ils n'auraient pas risqué de me faire du mal alors même qu'ils ne me reverraient plus à la fin des vacances. S'en prendre à moi aurait impliqué avoir encore à faire avec des sorciers plus tard pour rendre des comptes. Non, cette hypothèse n'est pas vraisemblable »

Il bascula sur son côté gauche et repensa à la théorie de son amie Hermione cette fois.

« Une théorie qui tiens en un mot: Voldemort. Là encore il y a un problème. Si Voldemort ou un de ses mangemorts m'avaient attaqué, je serai soit mort, soit blessé ou du moins il y a de grandes chance pour cela. Hors je ne suis pas blessé, j'ai juste arrêté de manger et de dormir si j'ai bien compris. Et je reste persuadé qu'en cas d'attaque, dans l'infime possibilité qu'elle soit passée inaperçue, j'en aurais parlé à Ron et Hermione. »

Rebasculant sur le dos, le jeune homme porta ses mains à son crâne dans l'espoir dérisoire de faire cesser la migraine qu'il sentait pointer le bout de son nez.

« Plus j'y pense, moins je comprends. J'aurais peut-être dû rester à l'infirmerie, Mme Pomfresh m'aurait donné une potion de sommeil sans rêves et je n'en serais pas là. J'ai mal au crâne, Ron et Hermione m'en veulent de ne pas leur avoir confié mes problèmes sans oser me faire de reproches, tous les Griffondors me harcèlent de questions et encore je ne devrais pas me plaindre, demain ce sera l'école entière. Pour couronner le tout, j'ai deux mois pour décider si je veux réellement retrouver la mémoire sans avoir la certitude que ça marchera si je tente de prendre l'antidote en voulant savoir la vérité. D'après le Pr. Dumbledore, Snape a de sérieux doutes sur mes chances de me souvenir. »

Décidant de couper cours à ses pensées pour ne pas aggraver plus sa migraine, Harry se prépara à dormir. Il commença à se déshabiller en évitant soigneusement de regarder son corps devenu trop maigre. Une fois torse nu, il s'attaqua à son pantalon lorsqu'il remarqua un morceau de parchemin dans sa poche. Il ne l'avait pas senti plus tôt portant un vieux pantalon de son cousin Dudley, trop grand pour lui.

Il déplia le parchemin et écarquilla les yeux en reconnaissant sa propre écriture. Dans ses mains se trouvait une lettre, une lettre qui lui était destiné.

À suivre…

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Vous pouvez le dire. Si, si, allez-y, dite-le ça vous fera du bien. Dite-le que je suis sadique! Mouhahahaha! Ce que ça m'amuse de couper les chapitre comme ça!

Hors mit l'irritation de ne pas avoir la suite toute de suite, qu'est-ce que vous pensez de ce chapitre? J'espère qu'il vous a plu.

La suite vendredi prochain.

A bientôt.