auteur: Bloodykizz
aucun des persos de vampire knight ne m'appartient
attention: yaoi ,tentative de suicide , lime
Note auteur: merci a tous ceux qui m'on donnait ler avis , sa ma fait très plaisir et a tous ceux qui l'on lu :)
Bonne lecture ...
Parti II: Everything You want
Ce compter de ce que l'on a pour ne rien regretter ni espérer …
Je suis ce que l'on peut appeler un homme heureux dans la vie.
De ma terrasse, j'admire le couchait de soleil, comme je le fais si souvent mais à chaque fois, ce n'est pour moi jamais les même couleurs qui baigne le ciel, ni la même lueur qui vient se reflétera sur les vagues, les yeux fermé, je laisse la brise marine, soufflé sur mon visage, que j'aime cette vie ….
Je suis paisible, l'esprit en paix, j'aimerai tant pouvoir dire ces mots sans mentir ….
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Je sens deux bras m'attrapé par la taille pour me serrer contre un torse musclé, puis quelques picotement dans mon cou, ce bruit d'un cœur qui bat cotre le mien et surtout cette voix pâteuse mais tellement rempli d'amour. Je me retourne et va pour embrasser celui qui partage ma vie depuis tant de temps maintenant, il est tous ce que je n'ai jamais désiré dans la vie….
Notre baiser chaste du début devient rapidement passionné sa langue et la mienne se mouvant dans une danse millénaire alors que mon dos se trouve collé contre le mur , ces mains vont et viennent sur mon corps alors que moi l'esprit déjà loin je me laisse aller au sensation de la passion , mon corps me brulant de ces attentions , que je désire cette homme ,et comme s'il avait lu dans mes pensée il colle son corps plus près du mien et mes gémissements meurent dans sa bouche , j'ai envie de lui là et maintenant .
Je le repousse doucement et l'attrapant par la main l'amène à notre lit, situé quelques mètre plus loin, le pousse dessus et m'installe sur ses hanches, frottant mon bassin au sien, mon désir grandissant, je nous déshabille, des quelque vêtements que nous portions et bientôt mes soupirs répondent aux mouvements qu'il a entamé dans mon corps. Son corps semblant ne faire qu'un avec le mien, je me laisse aller, collant mon corps contre le sien, je veux …
je le veux , mes mains le griffe alors que les siennes serrent avec plus de force mon bassin , la tête rejeté en arrière , je le regarde me dominer de son corps entier , mon corps cherche instinctivement le sien , le désir m'enflamme , il faut que je me libère de cette chaleur qui embrase mon corps, me faisant gémir sans pudeur alors que la honte et le gène me fait encore rougir du comportement que j'ai , mais quand je suis dans ces bras , je ne peux me contrôler , cette homme m'a ensorceler et j'aimerai tant que ce soit de même avec mon cœur ….
La passion nous ayant achevés, nous nous relaxons enlacé, ma tête plongé dans son torse, respirant son odeur musqué que j'aime tant alors que je sens sa mains se promener sur mon corps, le frôlant du bout des doigts, envoyant des décharge de plaisir qui me font frissonnait et gémir, et même si je ne le vois pas, je peux ressentir son regard, moqueur et plein d'amour, sur moi alors que son bras me serre d'avantage vers lui …
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Je me suis réveillé le premier et un sourire sur les lèvres, je le regarde dormir, je sais qu'il n'aime pas que je fasse ça, mais il est si beau endormi, il a l'air si fragile, alors que lorsqu'il est réveillé on dirait que même la fin du monde ne pourrait l'abattre. Je lui suis déjà fais la remarque et ce qu'il m'avait répondu m'avait aussi gêné que émue :
« Rien ne peut m'abattre tant que je sais que tu es la près de moi … »
Je m'étais mis à rougir comme une tomate et l'avait traité d'idiot lui rappelant que ce genre de chose ne se disait pas comme ça, il est était aussi franc, que j'étais mystérieux ….
Cela était valable dans tout, c'était même ainsi ou plutôt pour raison que l'on c'était rencontré, une rencontre plutôt comique, à l'époque, j'étais devenu depuis peu, un hunter professionnelle mais ma réputation était déjà aussi célèbre que celle de mon maitre et instructeur, et alors que je passais, ignorant la foule qui me fixai du regard, je surpris une conversation entre lui et certain collègues de la ligue des hunters.
Ils débattaient sur ma véritable personnalité et le faite que je n'étais qu'un prétentieux, un vampire et que juste parce que je faisais bien mon travail, je me permettais de snober tous ce qui m'entouraient, leur portant soit disant un regard hautain. J'en fus profondément blessé mais n'en montra rien et continua mon chemin, quand j'entendis sa voix.
une voix grave mais clair à la fois , une voix douce et chaleureuse et chaque mot qu'il prononça réchauffa mon cœur et c'est encore le cas quand j'y repense mais ce qui me fait chaque fois sourire fut qu'il se leva après leurs avoir tous dit ce qu'il pensait et qu'il s'était dirigé vers moi , et de son sourire ,si chaleureux , s'était présenté et m'avait ouvertement dit que je lui plaisait et si j'étais libre pour prendre un café .
J'en fus si surpris que je ne répondis pas sur le coup, mais quand j'eu repris mes esprit, je me dis que ce type ne manquait pas de cran et c'est tous naturellement que je …. Refusa son invitation, cela aurait été trop facile. Il fit une grimace de désespoir quelques instants puis comme piqué par une guêpe, me cria que ce n'étais que partis remise, me faisant de grand geste alors que je marchai vers mon bureau un sourire sur les lèvres et le cœur battant un peu plus vite.
Il continua a m'invitait à tous moment, que se soit pour un simple café pendant la pause, à déjeuner, à diner ou même parfois venait dans mon bureau, avec toujours une excuse aussi minable les une que les autres, ce faisant toujours virait aussi sec mais après un mois de persévérance, j'acceptai finalement une invitation diner.
il me proposa une tonne de restaurants aussi classe les un que les autre , l'enthousiasme et la peur de déplaire s'entendant dans sa voix et pour le rassurer et n'aimant pas la foule, je lui proposa de diner chez lui et les yeux pétillant, il m'assura ,qu'il était un fin cuisinier et que je regretterais pas d'avoir accepter son invitation ,même si je lui avait préciser que c'étais sans arrière pensée et à mon étonnement ,il ne tenta réellement rien .
Il fut galant , me divertissant , parfois rigoler , faisant la conversation , ne semblant jamais à court de sujet de discussion , me racontant sa vie alors que moi je me contentais de l'écouter , entrant parfois dans la discussion , mais jamais je ne me sentais obligé de participer ou n'avait se drôle de sentiment qui vous dicte de l'ouvrir , de dire un truc , même la plus grosse connerie du monde , mais la rien , il n'y avait jamais se silence pesant , les moment de silence était détendus , paisible .
Je me surpris à plusieurs reprise au court du diner, a me demander quand il allait venir m'embrasser, ou pourquoi il ne m'avait pas encore plaqué sur la moquette de sa chambre, où on était allait faire une partie d'échec, et je commençai a regretté de mettre convenu à un simple rendez vous sans aucune ambiguïté, et sentais à mesure la frustration monté en moi alors que je voyais sortir, me lançant un regard désolé, alors que je le voyais courir vers les toilettes.
Quelque peu inquiet , j'alla voir ce qui ce passait et de derrière la porte lui demandé , comment il allait mais en l'entendant haleté , je me demanda ce qui lui arrivé et en ouvrant je le vis en train de soulager , ce qui ressemblait a une érection surement très douloureuse, honteux, il s'excusa , essayant cacher son état alors qu'attirer comme un aimant, je m'approchai de lui , s'en était trop….Je craquai complètement , ce soir là et jeta au feu toutes mes bonnes résolutions.
En me réveillant ce matin, je vis sur son visage , une certaine inquiétude mais quand je l'embrassa , je revis son sourire et ces yeux ,si pur , qui brillaient de mille feux, mais je l'avertis ,quand même, que ce n'étais pas , parce qu'ils avaient passait la nuit ensembles , qu'il était un couple ou amant et malgré son air triste , acquiesça avant de me servir un petit déjeuner de prince le sourire au lèvres , un sourire qui malgré toutes les chose que je lui avait dit , restait sincère et plein de cet amour qu'il me portait .
Ce genre de soirée eu de nombreuse fois eu lieu mais jamais une soirée ne ressemblait à une autre et petit à petit une sorte de routine s'installa, en même temps que certaine de mes affaires, que j'oubliais mais que je ne ramenais jamais et des quelques petits chose, ce fut moi qui resta pour de bon dans cette appartement si chaleureux et où je m'étais senti si bien des la première fois où j'y étais venu.
Et ce si chaleureux appartement, cela fait maintenant cinq ans que je ne l'ai plus quitté.
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Un dernier coup d'œil vers l'endormi et je me lève, attrape mon boxer, abandonné plus tôt dans la soirée au pied du lit.
un sentiment de nostalgie m'envahissant , je me dirige vers le balcon où je m'installe regardant le paysage en ce matin qui me semble si doux , buvant à petite gorgé , le café brulant entre mes mains tous en pensant, même si cette homme à tout du mari amant parfais , il reste , quand cinq ans de vie commune, je n'ai toujours pas pu lui dire ces simple mot : Je t'aime …
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La raison, je la connais que trop bien, mon cœur ne peut plus aimer depuis qu'il s'est brisé il y a six ans déjà, le temps passe si vite, je sais bien que je me mens en disant cela mais …
Je ne pourrais jamais l'oublier, ce fut la première personne que j'ai aimais à ce point, malgré qu'il s'agissait d'un amour destructeur, qui me rongeait, me torturé, autant qu'il m'a torturait lorsque nos deux corps se sont enlaçaient.
Je l'avoue, entre nous, cela n'était pas des le premier regard le grand amour au contraire, c'était plutôt au début une immense haine qui consumait nos deux cœurs de la même flamme.
Je le détestais pour de nombreuse raison mais la première fut le fait qu'il s'agissait d'un vampire et pas n'importe lequel, un sang pur, comme celle qui me condamna, à être assoiffé de sang pour le reste de mes jours.
A cette époque ,un vampire quelque soit son rang , devait finir sous les balles de mon Bloody Rose , et dans la liste ,je me comptait parmi mes futurs proie ,car depuis que j'avais osé touchais la fille que je considérait comme ma petite sœur , je n'aspirait plus qu'à la mort , je l'appelait de toute mon âme, pour quelle me délivre de cette souffrance, mais la mort ne répondis jamais, ce fut plutôt un démon qui vint vers moi , et après ce fut ma descente aux enfer .
Je cédai a son charme, comme tant de personne avant moi mais si cela c'était arrêté la, je repenserais à cela avec un sourire, comme une groupie repense à une idole, dont elle était amoureuse jeune, mais entre lui et moi cela n'était pas qu'un simple béguin d'adolescent, c'était ce triste sentiment qu'est l'amour …
Nous n'avons couchait qu'une seule et unique fois ensemble, et le mot le plus approprié serait baiser.
Je venais pour la première fois de gouté à son sang empoisonné et tel l'alcool, il me délia de mes inhibitions et je me jetai sur lui, la passion que j'avais pour lui ayant pris passe sur ma propre conscience. Il ne résista pas et une petite voix dans ma tête me dit que cela ne devait pas être la première fois, je tentai de l'ignorait alors que je le sentais me pénétrait mais ses gestes adroit ne faisait qu'allait dans le sens de la voix traitresse, et dans ses moments, mes yeux brillait d'un éclat de tristesse, j'aimais un connard et retenant mes larmes, le laissait me posséder.
Il posséda à cet instant mon cœur, mon corps et mon âme.
Le matin suivant, je partis vite, ne voulant pas l'entendre me dire de virer ce sa chambre, tel qu'on le dira à une prostituée après voir tiré son coup avec.
Apres cette nuit, je me sentis mal, sale et arrivé à ma chambre, j'y vomis tous ce que contenais encore mon estomac ainsi que de la bile et laissa les larmes coulaient sur mes joues, tout en me promettant a moi-même, que se serait les dernières que je verserais pour ce type.
La suite fut une routine qui transformé ma vie en enfer, je le voyais en permanence, il hantât mes pensée, mon corps était devenu encore plus sensible à la vu du sien, et il ne faisait rien pour arranger cela, débarquant quand il le souhaita dans ma chambre, ce qui un moment me rendu paranoïaque et m'empêcha de dormir.
Mon amour pour lui me détruisait petit feu, j'en étais venu à me droguer pour essayé de vivre une vie presque normal, dans ces moments là mon esprit était ailleurs, mais lorsque l'effet s'arrêter, la chute n'étais que plus douloureuse, puis vint ce jour où mon cœur explosa.
Je vis Yuki venir en courant vers moi m'annoncer ses fiançailles avec Kaname Kuran.
Mon démon et mon ange allait se marier, les larmes aux bords des yeux, je la félicitai, un sourire sur les lèvres.
Puis ce fut les préparatifs du mariage aux quelle je ne tenais vraiment pas a assisté mais ma petite Yuki me demanda d'être son témoin et je ne pus refuse cette honneur.
Mon bonheur, je le cherchai dans son sourire alors qu'elle prononçait le oui solennel.
La soirée qui suivit le mariage fut un des pires moments de ma vie, il me rappelait cette fois où un bal avait été organisé à l'époque où nous étions lycéens.
Les gens dansaient, s'amusaient, vous admiraient aussi, alors que toute la soirée tu dansas avec elle mais ce qui me dérangea, fut ce regard que tu posais en permanence sur moi, comme pour me narguait, comme si au fond de ce qui devait être ton cœur, tu savais à quelle point tu me faisais souffrir et que tu faisais ton possible pour agrandir cette souffrance.
Je ne vous revis pas après le mariage, me trouvant souvent en mission, mais je te revis le jour où mon neveu préféré vint au monde, puis surtout lors des fêtes, alors toi et moi faisions semblant d'être ami, juste ami. Tu étais devenu un père et un mari aimant et moi un homme solitaire mais aimé d'un homme que je ne méritais pas.
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Aujourd'hui, nous sommes le jour du réveillon de Noel, Je vais revoir mon soleil, mon neveu et Toi mais cette fois je ne serais pas seul.
Je repose mon café alors que j'entends un crie panique venant de la chambre, je regarde ce qui arrive à Takea mais voit juste celui-ci courant dans tous les sens, paniqué de ne pas être encore prêt alors que je vais le présenté comme étant mon mari dans moins d'une heure.
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Pour la première fois, je suis en retard, mais je sais que Yuki ne m'en tiendra pas rigueur, je souris en voyant le visage pale de Takea et sonne.
La porte s'ouvre et un sourire familier me salue, je lui rends le même et jette un coup d'œil à Takea qui semble être devenu une autre personne, le visage souriant et confiant malgré qu'il semble un peu tendu. Je souris, il ressemble à un futur genre venu voir les parents de sa future épouse.
J'entrai, essayant de me débarrassé de la fine couche neige tombait sur mes cheveux, et c'est à cette instant que je te vois, tu es assis dans ton fauteuil et ton regard qui me fixait va vers Takea, que tu scrute semblant presque surpris puis tu vins nous salué et c'est là que Takea se présenta comme étant Takea Kiryu.
Je rougis en me rendant compte de la gaffe qu'il venait de commettre, ne pouvant m'empêcher de lui lançait un regard noir alors que un silence planait, je rattrapai la gaffe du mieux que je pus alors que je sentais Takea me lançait un regard désolé.
Au dessert, je pris mon courage à deux mains et le fis comprendre a mon mari mais ayant besoin de son soutien, je ne pus m'empêché de serrer ma main dans la sien, puis dans un souffle, le cœur battant, je vous expliquai qu'il n'y avait pas erreur, l'homme près de moi s'appeler bien Takea Kiryu puisque lui et moi étions marié enfin plutôt adopter.
Je n'osai pas regardais ma petite sœur ni toi, et le cœur battant a une cadence folle, j'attendais la moindre réaction alors que je sentais une main serrait plus fort la miens.
La première a réagir fut mon rayon de soleil ,qui me gifla avant de se jeter dans mes bras, en me traitant d'idiot mais me félicitant pour mon mariage, mais me faisant bien comprendre qu'elle était vraiment vexé que je ne lui est pas annoncé mon mariage . Je la regardai et sourie, elle n'avait pas changé, elle m'acceptait toujours comme j'étais, je la serra a mon tour dans mes bras, j'étais quand même surpris et elle la surement comprit, car elle m'expliqua qu'elle se doutait depuis de nombreuse de ma préférence, vu comment je regardais son époux, elle ajouta aussi ce qui me fut la goutte d'eau, elle avait même cru un moment que j'étais amoureux de lui.
Je ne dis rien mais en croisant le regard paniqué de Kaname à moi et son épouse, j'eu comme un flash et je me mis à rigoler, c'était nerveux, trop de chose avait été enfoui dans mon cœur, surtout se sentiment, que j'apprenais que six ans après qu'il avait était réciproque.
Takea me regardait ainsi que Yuki mais je ne pouvais m'arrêter de rigoler alors que je te vois du coin de l'œil t'enfuir en courant.
Je me calme et souriant me dirige vers la salle de bain pour me rafraichir quand j'entends une détonation familière suivit d'une odeur forte de sang.
J'arrive sur le toit où je te trouve entouré par une flaque de sang, ton regard se fixe sur moi alors que je me penche :
« Je suis au paradis ? »
« Toi allé au paradis ?! Nan mais tu rêve Kuran, pour toi sa sera plutôt l'enfer surtout si tu meurs maintenant ! »Je lui crie paniqué, la peur et la colère mêlé.
« Zero…. »Tu me souffle la vie t'abandonnant petit à petit.
Je sais parfaitement ce que je dois faire, et avec une certaine précipitation, me griffe la gorge. L'odeur du sang semble te ramener à la vie et tu te penche vers mon cou et plante tes crocs dans ma chair, quand je sens mes forces m'abandonner, je te repousse, ignorant ton regard et me dirige vers Takea qui me prend dans ce bras paniqué alors que je vois Yuki faire de même avec toi. Nos regard se rencontre alors et sans un mot nous comprenons le fin mot de cette histoire, tu m'aimes et moi ...
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Le réveillon continu ,comme si de rien n'étais ,comme si il y a quelque instant ,tu n'avais pas essayé de te suicider alors que tu venais d'apprendre mon mariage , comme si je ne sentais pas le regard de Takea sur moi ,alors que Yuki te lance des regards en coin, comme si je ne voyais pas la jalousie et la peine dans tes yeux ,alors que tu nous fixe ,moi et Takea, enlacé près du feu , s'embrassant de tant en tant, alors que tel une litanie ,il me murmure son amour pour moi ,alors que je sens sa voix tremblait de la peur qu'il a eu de me perdre.
Dans mon monde, je sais qui je veux avec moi, je me penche vers l'homme que j'aimerai et lui murmure enfin ces mots : Je t'aime, Takea …
Son regard brille alors que je l'embrasse avec passion, devant le regard attendrie de Yuki et indescriptible de Kaname.
La vérité n'est pas toujours la meilleur solution car elle demande trop de sacrifice alors qu'un petit mensonge, n'as pas de grave conséquences, n'est ce pas ... N'est ce pas ?
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Fin.
J'espère que cette fic vous a plu et je suis désolé mais il s'agit bien de la fin et pour ce qui est d'une suite , je n'y aipas réfléchis mais, sincerement, je ne pense pas :s
=) A la prochaine, kizz
Bloodykizz