Hello everybody ^^. Voici donc le chapitre un d'un plus longue fanfic, qui, j'espère, vous plaira.
Il y des couples yaoi et hétéro.
Ces superbes personnages ne m'appartiennent pas (T.T), excepté quelques uns que vous découvrirez plus tard ^^ (quel suspense...)
Mis à par cela, BONNE LECTURE !
Bisous-chocolats.
Naj ;)
P.S. : pardonnez-moi pour le résumé et le titre, j'ai jamais été très forte pour cela :/.
Détester les orages :
J'ai toujours détesté les orages... Cela me rappelle de mauvais souvenirs. C'est dans ces moments où le ciel se déchaine que les anges disparaissent. Que nous, nous avions disparu, mes deux amis et moi. Dieu nous a puni. Les humains nous ont condamnés. Ils sont pathétiques. Je les hais ! Je les hais tellement...
Mon double n'en pense pas moins, mais lui il préfère s'amuser à leur dépend. Nous sommes souvent en conflit, c'est pourquoi nous ne nous réincarnons jamais dans le même corps. Jamais nous ferons cette bêtise. Ce serait plus qu'idiot : nous nous déchirerions à l'intérieur de ce corps et nous détruirions cette enveloppe, mentalement comme physiquement.
Voilà, j'ai trouvé en qui j'allais me réincarner. Je vois ce petit corps entouré de lumière blanche. Ce bébé va m'appartenir... même si j'ai un mauvais présentement à son égard : naitre un jour d'orage pourrait me porter malheur...
...Quand je n'en aurais plus besoin, je le tuerais.
Je déteste les orages. Je revois sans cesse cette image. Je les vois mourir. Je la vois souffrir. Je la vois me haïr. Je la vois disparaitre. Je grimace. Son visage. Son si beau visage souriant s'est transformé en un rictus d'horreur. Je...
« - Shaka, qu'en penses-tu ? »
La réalité refait surface. Je me suis perdu dans mes pensées en plein conseil. Mais l'orage me perturbe. Je n'y peux rien, je n'arrive pas à me concentrer. Mon passé me revient en tête. Je suis désolé, Shion, mais je n'ai pas su t'écouter. Je l'entends hurler. Je la vois se contorsionner de douleur. Je...
« - Shaka, tu m'écoutes ?
- Pardon, Shion, je n'ai pas fait attention à tes dires. Que me demandais-tu ?
- Voyons, Shaka, je peux croire et plus ou moins accepter qu'Angelo et Aphrodite n'écoutent rien car c'est dans leur nature. Mais toi, ce n'est pas sérieux ! Le sermonna le Grand Pope, visiblement très contrarié. J'attends de toi d'être irréprochable à l'avenir.
- C'est l'hôpital qui se moque de la charité ! Marmonnais-je très bas »
Mais pas assez bas visiblement car Shion et tous les autres chevaliers d'or l'entendirent. Était-ce ma faute si le bicentenaire préférait s'occuper de ses dossiers et en oubliait les relations humaines, excepté quand il s'agissait de son compagnon de l'ancienne guerre sainte ? Et en parlant de ça, était-ce aussi ma faute si Shion avait retrouvé sa jeunesse et qu'il en profitait le plus possible, cinq à six fois par jour, en compagnie de Dokho dans le temple de ce dernier ? J'avais beaucoup de mal à me concentrer sur ma méditation dans ces moments-là, et je voulais aussi dormir la nuit. Mais je n'osais pas tellement lui avouer ses quatre vérités en face, j'en avais bien peur.
- Peux-tu nous faire partager ta pensée, mon cher chevalier de la vierge, pour que je puisse comprendre ce qui me vaut l'honneur de n'être pas irréprochable aux yeux de l'homme le plus proche de Dieu ? Je suis curieux... »
Je me suis mis à rougir. Tous m'observaient, embarrassés. Et M...! Pour une fois que je me murmurais à moi-même. Et surtout pour une fois que j'exprimais ma presque contrariété de manière orale, Shion m'avait entendu et m'avait dans le collimateur. Les orages ont une très mauvaise influence sur moi. Mais quelle idée aussi de nous convoquer par un temps pareil ! À l'extérieur, il faisait exécrable. Je détestais les orages... et je me détestais quand la foudre éclairait le ciel sombre : cela montrait que j'étais perturbé.
« - Pardonnez-moi, Grand Pope, répliquais-je en baissant la tête, je ne voulais pas vous manquer de respect...
- Trop tard ! Maintenant, j'aimerais que tu assumes tes actes et que tu... »
Un coup de tonnerre violent retentit, suivi d'un éclair zébrant le ciel. Je ne pus m'empêcher de sursauter violemment, ouvrant mes yeux. Je tremblais. Les orages. Les éclairs. Le tonnerre. À chaque fois qu'un orage éclatait, je perdais quelqu'un qui m'était cher. Je ne voulais pas m'attacher aux autres... Au début en tout cas. Maintenant, je me rends compte que je les considère comme les frères que je n'ai jamais eu. J'ai peur de les perdre, comme je l'ai perdue il y a des années. J'avais peur de les perdre... Ils me voyaient trembler. Angelo allait lancer quelque chose de moqueur, mais un autre coup de tonnerre tonna. Je me suis mis à saigner du nez.
« - Shaka, que t'arrive-t-il ? »
Mü s'était approché de moi. Il m'avait placé un mouchoir sous mon nez. Toujours aussi paternel, lui. Son geste m'a touché. C'est quelqu'un de bien.
« - Shion, je suis vraiment désolé de vous avoir manqué de respect. Mais je vous le demande, laissez-moi retourner dans mon temple. Je... je...
- Vas-y, Shaka, j'avais oublié que les orages te perturbaient au plus au point. Mais ne pense pas t'en sortir pour autant. Mü, accompagne Shaka !
- Ce n'est pas la p...»
Shion me foudroya du regard. Visiblement, je n'avais pas le choix. Je sortis donc de la salle du conseil, en compagnie de Mü.
« - Mais, qu'est-ce qu'il a eu ? Demanda Milo. C'était flippant ! J'ai revu notre Saga maléfique naissant dans le corps de Barbie nonne !
- Barbie nonne ? »
Aiolia ne voyait pas le rapport avec Shaka.
« - Je crois que c'est comme ça que Milo surnomme Shaka, même si je dois avouer que je ne comprends guère plus que toi le pourquoi de comment de ce surnom très... spécial. »
Camus devinait toujours très rapidement les pensées de Milo. Il faut dire, depuis le temps qu'ils étaient ensemble ces deux-là, Camus avait fini par devenir un traducteur instantané du « Miloën », même si parfois il devait y réfléchir à deux fois avant de trouver une traduction correcte.
« - Oui, c'est ça... T'es trop fort, mon Camus.
- Il parait...
- Et peut-on savoir pourquoi tu ne l'appelles pas Little Boudha comme tout le monde ? Demanda malgré tout Angelo.
- Parce-que justement tout le monde le fait, et que j'ai envie de ressortir du lot.
- Mouais ! Approuva le cancer. Mais quand même, Barbie nonne ? Mais c'est... bizarre !
- Ben, il est blond, Svelte, plutôt pas mal, qui adore les couleurs flash, donc une barbie, avec un caractère renfermé, pour ne pas dire ermite, qui ne fait que méditer et discuter avec son Dieu... une nonne, c'est bien ce que je dis.
- Je savais que tu avais un esprit tordu, mais pas à ce point. Je pensais qu'il y avait encore un espoir ! Sourit Saga. Mais bon ! Mis à part la remarque au sujet de ma schizophrénie maintenant disparue, enfin je l'espère, je ne peux que donner raison à Milo. L'attitude de Shaka est assez déroutante. Quand penses-tu Shion ? »
Mais le Grand Pope était plongé dans ses pensées. Il ne l'avait pas écouté. En effet, c'est l'hôpital qui se fout de la charité, pensa Saga. Mais il se retint de tout commentaire, lui.
« - Quel jour est-on aujourd'hui ? »
Ce fut la seule réponse de Shion. Certains des chevaliers se dirent à cet instant que finalement, même si le Grand Pope avait retrouvé sa jeunesse, son cerveau de vieux gâteux n'avait pas disparu. Shion releva la tête à ce moment-là et les dévisagea méchamment. Oups ! Ils avaient complètement oublié qu'il lisait dans les pensées.
« - Je ne tiendrais pas compte de cette remarque si l'un d'entre vous pouvait me dire quel jour sommes-nous ! Siffla-t-il.
- Nous sommes vendredi.
- Merci Aldébaran pour cette brillante constatation, je suis au courant du jour de la semaine, mais je demande plutôt la date.
- Heu... le onze mai, vérifia Shura.
- C'est bien ce que je pensais... J'avais complètement oublié quel jour nous étions ! Murmura Shion, le regard dans le vague.
- C'est-à-dire ? C'est une date importante ? Demanda innocemment Kanon.
- Tous les malheurs de Shaka sont arrivés un jour d'orage. Mais celui qui lui laissé un plus mauvais souvenir est sans aucun doute le jour où il a perdu sa famille. Ils ont été tué sous ses yeux quand il avait quinze ans, juste avant son arrivée au sanctuaire en tant que chevalier de la vierge. Oui, je sais ce que vous allez me dire. Oui, il vaincu une partie de son enfance dans un temple bouddhiste. Mais seulement jusqu'à ses sept ans. Son maitre est allé le chercher, mais Shaka n'a jamais vraiment voulu le suivre. Donc il s'est sauvé et il a atterri chez une famille d'anciens chevaliers, avec qui il passé les huit années suivantes. Il s'est entrainé avec eux, sous la surveillance discrète de son maitre. Mais un jour d'orage, la foudre avait ravagé un village non loin de leur habitation, et les villageois les ont pris comme boucs émissaires. Shaka a été sauvé par son maitre avant de se faire tuer à son tour.
- Mais ils auraient pu se défendre ! T'as dit que c'étaient des anciens chevaliers ! »
Milo n'en revenait pas. Soit ces chevaliers étaient vraiment nuls, soit... ils étaient vraiment nuls en fait !
« - Ils ne voulaient pas blesser les villageois... et ils en sont morts. Avec leurs deux enfants. »
La nouvelle laissa un lourd silence peser dans la pièce. Shion se leva, très vite imité par le reste de la chevalerie dorée.
« - Nous reprendrons cette réunion demain. »
Ah ! Les humains. La plus belle connerie que le monde ait pu supporter. Mais je dois leur reconnaitre une qualité : ils sont si... distrayants ! Une guerre par-ci, une autre par-là. Sans parler de tous leurs défauts et de leurs péchés. Finalement, je les adore. Je ne les ai jamais vraiment détesté, loin de moi cette idée. Mais je me dis que la planète se porterait mieux sans eux parfois. Mais comme je n'aime pas vraiment cette planète, je m'en fous un peu en fait ! À part ces humains stupides et horribles, qu'est-ce que j'aime ici, sur la Terre ? Hum... le fait qu'elle peut disparaitre à tout moment, ce qui provoquera un mouvement de panique chez ces stupides bipèdes et plongera ce monde dans un délicieux chaos avant sa destruction ? Oh oui ! Mais je sauverais quand même quelque chose malgré tout. Eh oui ! La générosité est chez moi une seconde nature... Je déconne pour la générosité bien sûr. Mais je sauverais les seuls êtres vivants qui mériterai de vivre à mes yeux : les serpents. Eux, je les adore. Sournois, prédateur, empoisonneur... et c'est si doux à caresser, un serpent. Ah... J'aime ces bestioles !
Tiens donc ! Qu'est-ce que ceci ? Une pauvre âme égarée et effrayée ? Quelque peu torturée ? J'aime les âmes égarées, effrayées et torturées. Elles sont délicieuses au goût. Parfois amer ou acide, mais souvent hésitante entre le sucré et le salé. Miam !
Mü me raccompagna jusqu'à mon temple. J'avais manqué plusieurs fois de me retrouver à terre. J'avais la tête qui tournait. Quelle sensation horrible ! Le bélier avait fini par me tenir par le bras et par la taille. C'est vraiment quelqu'un de bien... Même si je trouvais bizarre le fait qu'il m'effleure trop souvent par hasard.
Nous voilà arrivés à mon temple. Je me sens déjà mieux. L'orage a enfin cessé, maintenant la pluie tombe à flot. Tant mieux, mon corps sera lavé de mes fautes.
« - Merci beaucoup Mü ! Je vais me débrouiller maintenant.
- Shion n'aimerait pas que je ne m'assure pas que tu sois en sécurité dans ton temple. Je préfère t'accompagner jusqu'à l'intérieur. »
Vraiment, je me répète mais c'est quelqu'un de bien. Et d'attentionné. Nous entrâmes dans mes appartements. Ils n'était pas beaucoup décorés. Mis à part quelques représentations de Bouddha, je n'avais rien. Je n'aime pas m'attacher aux choses matérielles, cela peut dire que je pourrais les perdre. Ma chambre, n'en parlons pas. Je n'avais pas de lit, juste un tapis, des coussins et une fine couverture qui le remplaçait, je n'avais aucune armoire, juste quelques cintres sur un fil pour pendre mes saris, une petite statuette de Bouddha à qui je pouvais parler sans crainte, et c'est tout, pas de portrait ni de photos. À qui pourrais-je penser, si ce n'est à eux ? Mais penser à eux me fait mal, me fait sentir coupable. Mon armure se retire de moi et se pose plus loin. Je me retrouve en pantalon de toile pourpre, torse nu. Je ne veux qu'une chose : m'allonger pour dormir et oublier cette journée, cette soirée de cauchemar. Je me suis retourné.
« - Encore merci de m'avoir raccompagné Mü, c'est vraim... »
J'ai stoppé net mes paroles. Mon collègue s'était approché de moi, complètement nu. J'ai voulu ouvrir la bouche pour lui demander ce qu'il était en train de faire, mais ses lèvres scellèrent les miennes. C'était doux et chaud. Sa langue me caressa les lèvres pour me demander de les ouvrir. Je ne devais pas faire ça, je ferai souffrir Mü... Mes lèvres s'entrouvrirent et sa langue vint danser avec sa jumelle, tel un ballet sensuelle, pendant que ses mains se glissaient sur mes reins. Ses mains. Elles étaient si douces. Leur contact m'électrisait.
« - Laisse-moi te réconforter et t'aimer, Shaka ! Me murmura Mü dans le creux de l'oreille »
Shaka, je veux que ce soit toi mon premier. Je ne veux faire qu'un avec toi. Je t'aime Shaka !
Ces paroles me revinrent en tête. Elle m'avait dit ça un jour d'orage, un temps qu'elle adorait. Un temps où elle n'avait pas besoin de cacher son regard, un temps qui pouvait masquer ses cris perçants. Sa voix, si douce et meurtrière à la fois. Ses heures passées à ses côtés. Notre nuit d'amour sous la pluie et la foudre. Le tonnerre rendant insonores nos cris de plaisir et de jouissance. Les dernières heures que nous avons passés ensemble.
Jamais je n'aimerais quelqu'un d'autre que toi, ma belle et tendre princesse. Jamais !
Je poussais Mü, mettant fin à notre baiser. Je ne devais pas faire cela. Je lui ai promis ! L'Atlante me regarda sans comprendre. Je ne voulais pas le blesser. Je ne l'aimais pas comme un amour, mais comme un ami.
« - Je suis désolé, Mü, mais je ne peux pas te donner ce que tu souhaites.
- Si tu peux. Je ne te demande pas de m'aimer, Shaka, je veux juste que tu te laisses aller. Je veux juste t'aimer comme tu le mérites. Je veux...
- Arrête ça tout de suite ! Lui dis-je en haussant légèrement la voix. Je ne peux pas le faire, tu m'entends. Je ne peux pas te rendre heureux. Je ne t'aime pas, Mü, pas comme ça.
- Comment alors ?
- Comme un ami, comme mon meilleur ami... »
Il ramassa ses vêtements et se rhabilla. Son armure se rematérialisa sur lui. Son visage était couvert de larmes.
« - Je comprends, murmura-t-il, une boule dans la gorge. Pardonne-moi Shaka. Je vais cesser de t'importuner et te laisser dormir. Oublie ce qui vient de se passer. C'était idiot de ma part. Bonne nuit Shaka ! »
Et il s'enfuit dans la nuit. L'orage avait repris. Je venais de perdre Mü. Il allait m'éviter maintenant. Je m'effondrai sur mes coussins colorés, des larmes coulant silencieusement sur mes joues. Maudit soit ce jour ! Maudit soit cet orage ! Maudit sois-je pour être né un jour d'orage ! Maudit sois-je pour apporter le malheur à ceux qui me sont chers !
Mü courait sous l'averse déchainée. Mais qu'est-ce qui lui avait pris ? Oh Déesse ! Il allait le perdre, c'était certain ! Il ne voulait pas le perdre ! Mais pourquoi avait-il fait ça ? Les lèvres de Shaka... Un véritable appel au baiser ! Si douces, au goût de vanille. Plus jamais, il ne pourrait y goûter, plus jamais il...
« - Tiens donc ! Qu'est-ce que ceci ? Une pauvre âme égarée et effrayée ? Quelque peu torturée ? »
Mü s'arrêta. Il avait entendu une voix. La pluie laissa une ombre se découvrir, fine et... sauvage. Devant cette démarche féline, le chevalier d'or recula de plusieurs pas. Quelque chose ne tournait pas rond dans l'attitude de cet homme. Il fut bientôt coincé entre un rocher et le torse nu de l'inconnu. C'est là qu'il remarqua ses yeux, d'un bleu électrique et hypnotique qui brillaient dans la nuit, ses longs cheveux d'un blanc pur, sa peau bleue foncée, ses dents si pointues... Mü écarquilla les yeux. Mais c'était quoi ça au juste ?
« - J'aime les âmes égarées, effrayées et torturées. Elles sont délicieuses au goût. Parfois amer ou acide, mais souvent hésitante entre le sucré et le salé. »
Mü tenta de se débattre mais rien à faire, son vis-à-vis avait énormément de force.
« - Pauvre petit agneau... »
Susurra la chose au creux de son oreille... pour ensuite lui planter ses dents dans le cou. Mü ne sentit plus rien. Plus de douleur, plus de peur, comme c'était agréable... La chose laissa tomber à terre le corps de l'Atlante aux cheveux lilas. Délicieux ! À la fois sucré et salé. Quel délice !
« - Miam ! »
« - Seigneur Hadès ?
- Oui, Rhadamante ? Que puis-je faire pour toi ?
- Ils sont de retour ! »
Le dieu des Enfers leva son regard de ces maudits papiers administratifs pour le poser sur la Wyverne.
« - Ils ? Qui ça Ils ?
- Les destructeurs... »
Hadès devint encore plus pâle que l'habitude. Non, ce n'était pas possible !
« - Envoie des émissaires sur l'Olympe, ainsi qu'au Sanctuaire d'Athéna et de Poséidon. Préviens également Hilda de Polaris ! L'apocalypse se prépare ! »
à suivre
Alors qu'en pensez-vous ? N'hésitez pas à laisser des reviews/tomates pour m'encourager à faire une suite (ou pas).
Je précise aussi qu'il faudra un peu attendre pour la suite (possible) car période de blocus commencée et bientôt en examen... (je sais tout le monde me hait ^^).
Re-bisous-chocolats tout le monde.